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#TOUTROULE, l'espace prévention et solidarité pour les professionnels de l'automobile.

Comment réagir suite à une exposition à un produit chimique sur la peau ou l’œil

En cas de projection d’un produit chimique sur la peau ou sur l’œil, il faut tout de suite agir. ToutRoule vous donne les recommandations à adopter pour réagir au plus vite et limiter les risques sur votre santé mais aussi les gestes à éviter…

À la suite d’un contact de la peau ou des yeux avec un produit chimique, il est très important de commencer le rinçage à l’eau immédiatement après le contact. Il est préférable d’effectuer un lavage à l’eau en profondeur directement sur le lieu de la projection.

Voici les gestes à adopter :

1°) Le premier geste est de rincer abondamment avec précaution à l’eau et d’adapter la durée de rinçage de la façon suivante :

  • au moins 5 minutes dans le cas d’un produit chimique non irritant ou légèrement irritant,
  • de 15 à 20 minutes dans le cas d’un produit causant des irritations modérées à graves et d’un produit chimique pouvant causer une toxicité aiguë s’il est absorbé par la peau,
  • au moins 30 minutes dans le cas de la plupart des produits chimiques corrosifs,
  • au moins 60 minutes dans le cas d’un alcali fort (par exemple. sodium, potassium ou hydroxyde de calcium).

2°) Si l’accident s’est produit chez vous, il faut appeler le centre antipoison de votre région ou le 15

3°) Garder le produit et également sa fiche de données de sécurité si l’accident a eu lieu sur le lieu de travail en cas de mélange de substances pour mieux identifier les dangers

4°) Prévenir l’employeur, le médecin du travail ou le sauveteur secouriste du travail (SST) si l’accident s’est produit au travail

Ce qu’il ne faut jamais faire :

  • se frotter ou s’essuyer avec un chiffon sale ou déjà utilisé,
  • « attendre que cela passe », car cela ne peut qu’aggraver la situation. Réagir dans les premières minutes de l’accident minimise les risques de complication,
  • reprendre le volant ou le travail sans avis médical.

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ces sujets. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

L’arthrose : les causes et comment la prévenir ?

Avec 10 millions de français concernés*, l’arthrose est la maladie articulaire la plus répandue. Quelles en sont les causes et comment prévenir l’arthrose ? ToutRoule fait le point.

L’arthrose est une affection chronique qui se manifeste par des douleurs persistantes aux articulations causées par l’usure anormale du cartilage et de l’ensemble de l’articulation.

Les articulations les plus fréquemment touchées sont le genou, la hanche et celles de la colonne vertébrale. Cependant, les autres articulations, comme l’épaule, la cheville et le poignet, peuvent aussi être atteintes. L’arthrose ou ostéoarthrite, atteint chaque individu de manière différente. Les articulations touchées et l’intensité des douleurs varient d’une personne à l’autre.

Arthrose : quelles sont les causes ?

  • L’âge : la maladie concerne en effet seulement 3 % des moins de 45 ans, mais 65 % des plus de 65 ans et 80 % des plus de 80 ans.
  • Le sexe : Les femmes sont plus touchées par l’arthrose que les hommes. Ces différences peuvent être dues à des facteurs biologiques (la ménopause est un facteur de risque, par exemple), génétiques ou hormonaux.
  • Un excès de pression sur les articulations : l’augmentation des contraintes mécaniques, une surcharge pondérale, le port fréquent de charges lourdes, une activité physique trop intense ou la pratique mal contrôlée de certains sports peuvent favoriser le développement de l’arthrose.
  • Des désordres métaboliques générés par le diabète, l’obésité, l’hypertension artérielle ou encore les dyslipidémies.
  • Certaines autres maladies (de l’articulation ou des maladies osseuses) ou anomalies anatomiques (dysplasies de hanche) ainsi que des séquelles de traumatisme (fracture articulaire)
  • La génétique : avoir des membres de sa famille atteints est, dans certains cas, un facteur de risque (l’arthrose des mains peut être héréditaire).

Prévenir l’arthrose :

Certaines de ces causes et plusieurs de ces facteurs peuvent être limités pour prévenir l’arthrose comme :

  • éviter l’excès de poids grâce à une alimentation équilibrée,
  • pratiquer une activité physique d’une intensité modérée permet de maintenir les articulations en bonne santé. La marche et la natation sont particulièrement recommandées,
  • protéger ses articulations au travail et au sport : grâce à l’échauffement ou au port de genouillères, d’un protège poignets, etc.
  • traiter les maladies prédisposant à l’arthrose : .

* Source : Inserm.

Bien se préparer pour le ski

Un séjour au ski ne s’improvise pas. Avant de vous lancer sur les pistes , pensez à vous préparer en amont pour limiter les risques. Retrouvez nos conseils pour que tout glisse au ski !

1°) AVANT le départ : la préparation physique

Pour éviter les blessures et courbatures, il faut pratiquer des exercices physiques au moins un mois avant son départ en vacances.

Vous préparez physiquement au ski vous permettra de bénéficier d’un renforcement musculaire précis, et donc d’améliorer vos appuis ainsi que votre résistance et votre endurance sur les pistes : adieu chutes et courbatures !

Pour muscler les cuisses et les jambes, faites tous les jours des flexions des genoux et des hanches. Squats et fentes deviendront vos meilleurs alliés. Travaillez vos quadriceps avec l’exercice de la chaise. Vous vous mettez dos au mur et vous descendez vos fesses de manière que vos cuisses soient parallèles au sol, comme si vous étiez assis sur une chaise.

Pensez également à réaliser quelques exercices de renforcement des abdominaux et un peu de gainage et à vous étirer pour relâcher vos muscles.

Si vous avez besoin d’autres idées d’exercices ou d’un accompagnement avec un coach, n’hésitez pas à visionner nos vidéos sport ou à vous inscrire aux cours en ligne d’IRP AUTO Solidarité-Prévention en vous connectant depuis votre espace privé.

2°) AU SKI : le matériel et se préparer pour ne pas avoir froid

Avant de s’élancer sur la piste, vérifier que votre matériel est en bon état, bien fixé, etc. En cas de doute, n’hésitez pas à demander l’avis d’un professionnel.

Le port du casque n’est pas obligatoire mais il reste fortement recommandé.

Ajuster bien votre masque et ne sortez pas sans votre bonnet et vos gants ! En effet, les extrémités mains, pieds sont les premières à réagir quand la température du corps descend.

Il est également important de bien protéger son corps du froid en superposant les couches pour avoir chaud. Pour cela utilisez la technique des 3 couches pour rester au sec et au chaud :

  • une couche pour évacuer la transpiration (couche de base),
  • une couche pour l’apport de chaleur (couche intermédiaire) et
  • une couche pour se protéger des éléments (couche externe).

3°) AU SKI : la météo et communiquer

Avant de partir, jetez un coup d’œil à la météo du jour, l’enneigement et le risque d’avalanche. Si les conditions sont mauvaises, on reste sur les pistes à proximité.

Ne partez pas seul sur les pistes ou alors prévenez où vous aller. Prenez toujours votre téléphone avec vous.

Tout savoir sur le disjoncteur et fusible

Le choix du fusible ou du disjoncteur dépend de la façon dont il va être utilisé. ToutRoule vous propose de faire le point pour comprendre les deux outils, leurs avantages ainsi que les mesures de précaution pour limiter le risque électrique.

Les fusibles et les disjoncteurs ont tous deux le même objectif : interrompre le flux d’électricité lors d’une surcharge ou d’un court-circuit pour prévenir les dommages d’ordre électrique.

Qu’est-ce qu’un fusible ?

Le fusible est disponible en différents types, tailles et formes. Il est généralement fabriqué à partir d’un filament enfermé dans du verre, de la céramique et du métal. Si le circuit est surchargé, le filament fondra et l’électricité cessera de circuler. Les fusibles sont généralement plus rapides pour interrompre le flux d’électricité que les disjoncteurs.

Qu’est-ce qu’un disjoncteur ?

Le disjoncteur utilise un électro-aimant et/ou une bande bimétallique pour détecter une surintensité et interrompre le courant. Si le courant traversant le circuit devient trop fort, l’électroaimant tire un levier métallique dans l’interrupteur ou la bande métallique se plie et arrête la circulation du courant. Pour réinitialiser un disjoncteur, l’interrupteur peut simplement être remis en place. Cette simplicité et la possibilité d’obtenir des utilisations presque illimitées du même disjoncteur les rendent généralement préférables aux fusibles (réarmable à volonté et réutilisable).

Fusible ou disjoncteur, Quel choix ?

  • Dans les applications domestiques, la norme NF C 15-100 impose d’utiliser uniquement des disjoncteurs pour protéger les installations électriques des habitations.
  • Dans les applications industrielles en revanche, le fusible reste la meilleure solution du fait de ses performances supérieures à celles du disjoncteur.

Les mesures de précaution :

  • L’habilitation électrique :

En basse tension, le symbole d’habilitation requis pour réarmer un dispositif de protection est le symbole BE manœuvre à minima ou le symbole BS s’il s’agit d’une intervention élémentaire (comme le remplacement à l’identique d’un fusible en basse tension et le réarmement d’un dispositif de protection dans des conditions qui garantissent la sécurité de l’opérateur et qui respectent les limites fixées dans la norme NF C 18-510). Il est admis que cette manœuvre soit réalisée par une personne avertie (informée des risques et formée aux manœuvres) et non habilitée si le disjoncteur est situé hors d’un local à risques particuliers de choc électrique et dispose d’un niveau de protection qui garantit la sécurité de l’opérateur.

  • Les équipements de protection individuelle :

Pour intervenir en sécurité, il convient de porter les EPI adaptés aux risques et possédant un degré d’isolation approprié aux valeurs des tensions auxquelles l’utilisateur est susceptible d’être exposé, tels que des gants, casques de protection, chaussures/bottes isolantes, ou encore une protection faciale et oculaire.

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Travailler par temps froid : comment l’anticiper au mieux ?

Le froid peut avoir d’importantes répercussions, sur la santé (crispation, engourdissement, maladie, etc.) et sur la qualité de son travail (accidents dus à des glissades, pertes de dextérité, etc.). Des activités de la branche des services de l’automobile, tels les dépanneurs automobiles, s’exercent en extérieur ou dans des ateliers peu chauffés : comment prévenir le risque lié au froid ?

Travail par temps froid

Il est recommandé de :

  • porter des équipements de protection individuelle adaptés ;
  • planifier le travail à l’extérieur en fonction des conditions météorologiques ;
  • utiliser les dispositifs localisés de chauffage pour les postes particulièrement exposés.

Pensez également à :

  • veiller à votre alimentation et, en complément, n’hésitez pas à opter pour des soupes, ainsi que pour des aliments qui font monter la sensation de chaleur (champignons, potirons, carottes, pommes de terre, riz, sarrasin, lentilles, haricots secs, noix, épices, aromates, oignons, ail, moutarde, etc.) ;
  • vous hydrater, puisqu’il est conseillé de boire 1,5 litre d’eau par jour et de privilégier les boissons chaudes ;
  • porter plusieurs couches de vêtements et bien vous couvrir la tête, les pieds et les mains ; en effet, ce sont les premières parties à se refroidir quand la température baisse.

Faites le plein de lumière, même en hiver !

En période hivernale, il n’est pas évident de profiter du soleil, pourtant indispensable au bon fonctionnement de notre horloge interne. Le matin, l’après-midi ou le soir, voici comment vous « baigner » de lumière naturelle.

La lumière naturelle est vitale et influe directement sur notre cycle physiologique. Sommeil, humeur, mémoire, capacités d’apprentissage, santé des os, immunité, etc., la liste de ses effets biologiques est longue. En hiver, il est donc important de continuer à en bénéficier.

Pour faire le plein de lumière, pensez à :

  • prendre des pauses régulières à la lumière du jour (même par temps nuageux). Si vous en avez la possibilité faites le plein de lumière le matin avant de commencer votre journée ou faites une balade sur votre pause déjeuner ;
  • réaliser, si possible, un maximum de tâches en extérieur ;
  • nettoyer régulièrement les vitres pour favoriser l’entrée de lumière ;
  • privilégier des matériaux transparents ou bien réfléchissant la lumière (des peintures dédiées existent).

Pour compenser le manque de vitamine D apportée par le soleil, il est recommandé de consommer des poissons gras (saumon, thon, hareng, sardine, etc.), des œufs, des produits laitiers, des champignons et du chocolat noir. Ce dernier est également riche en magnésium et sera un véritable allié anti-déprime pour l’hiver !

La luminothérapie, qui utilise des rayons lumineux proches de ceux du soleil, peut également être une solution pour traiter les troubles associés aux dérèglements de l’horloge biologique interne ou combler votre besoin quotidien de lumière.

Et n’oublions pas que la lumière à également de réelles propriétés bénéfiques sur le moral alors ne nous en privons pas…

Zoom sur le chariot de visite

Le chariot de visite (ou « chariot mécanicien ») est un équipement incontournable pour l’entretien d’un véhicule. Comment bien le choisir ?

Le chariot de visite permet de se glisser sous la voiture pour effectuer des contrôles ou des réparations tout en maintenant une assise la plus ergonomique possible.

Il existe différents modèles de chariots de visite :

  • Le chariot de visite standard, minimaliste et rigide. Muni de roulettes, il permet de travailler uniquement en position couchée et de se déplacer facilement sous les véhicules. Il inclut généralement une têtière, dont la hauteur est réglable. Il peut être doté de bacs à outils et d’une lampe d’agrément.
  • Le chariot de visite professionnel 2 en 1, pliable, qui peut être transformé en tabouret. Ce type de chariot permet au mécanicien de travailler en position couchée ou assise. Il bénéficie d’un confort optimisé prévu pour une utilisation régulière et de longues interventions. Il est particulièrement adapté pour les professionnels.

Quels sont les critères pour choisir son chariot mécanique 2 en 1 :

Le confort

Pour limiter le mal de dos ou les douleurs au niveau de la nuque pouvant entraîner sur le long terme des troubles musculosquelettiques, il est particulièrement important de miser sur une bonne position du corps. Une grande surface de couchage est un élément important pour être bien installé, quels que soient sa taille et son poids. L’épaisseur des coussins ou de la mousse doit être suffisante pour se sentir à l’aise dans toutes les positions.

Les matières (de préférence synthétiques) doivent permettre un nettoyage facile. L’appui-tête doit être ajustable et des bacs doivent permettre aux outils d’être à portée de main.

La structure

La structure du chariot est un critère à ne pas négliger. Un matériau solide, tel que l’acier, par exemple, est en effet un gage de sécurité. Le cadre doit pouvoir supporter un poids assez important (au moins 100 kilos). Les roulettes doivent être pivotantes à 360°, résistantes aux solvants et aux huiles, et permettre un déplacement latéral ou frontal rapide.

Les roues en polypropylène avec un revêtement antichoc offrent par exemple mobilité et résistance.

Qu’est-ce qu’un accident du travail ?

Un accident du travail est un événement soudain qui, quelle qu’en soit la raison, cause un dommage corporel ou psychologique et qui arrive pendant son activité professionnelle. En cas d’accident du travail, quelles sont les démarches pour le salarié et l’employeur ?

En pratique, on dit qu’il y a accident du travail :

  • s’il existe un lien de subordination entre la victime et son employeur au moment de l’accident ;
  • que l’accident est à l’origine de lésions corporelles ou psychiques ;
  • et qu’il peut être daté avec précision.

Démarche pour le salarié :

Dès lors que vous êtes victime d’un accident lié à votre travail (blessure causée par une machine utilisée dans le cadre du travail par exemple), vous devez :

  • informer, dans la journée ou au plus tard dans les 24 h, par tout moyen (mail, téléphone, SMS, etc.) votre employeur de votre accident de travail
  • faire constater vos blessures par un médecin qui établit un certificat médical (en 2 exemplaires : un pour votre organisme de Sécurité sociale et un pour vous) sur lequel il décrit les lésions, leur localisation, les symptômes et les séquelles éventuelles de l’accident et délivre, si nécessaire, un certificat d’arrêt de travail.

Ces démarches permettent de bénéficier de la prise en charge à 100 % des frais médicaux liés à l’accident.

Démarche pour l’employeur :

C’est à votre employeur de réaliser la déclaration d’accident de travail à votre organisme de Sécurité sociale (Caisse primaire d’assurance maladie ou Mutualité sociale agricole) dans les 48 heures (jours ouvrés). Il peut formuler des remarques argumentées sur le caractère professionnel ou non de l’accident.

L’absence de déclaration ou une déclaration hors délai est passible d’une amende (au maximum de 750 € pour une personne physique ou de 3 750 € pour une personne morale).

Attestation de salaire

Si l’accident donne lieu à un arrêt de travail, votre employeur adresse également à votre organisme de Sécurité sociale une attestation nécessaire au calcul des indemnités journalières auxquelles vous avez droit.

Feuille d’accident à remettre au salarié

Votre employeur doit également vous remettre une feuille d’accident.

Attention : l’accident de travail ne doit pas être confondu avec l’accident de trajet, dont les conséquences sont différentes…

Les bonnes résolutions sportives : et si on essayait les cours en ligne ?

En ce début d’année, les bonnes résolutions font leur apparition et notamment celle autour de la pratique d’activité physique. Il n’est pas toujours évident de tenir ses résolutions sportives… Et si le sport en ligne était la bonne alternative ?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de pratiquer, au cours de la semaine, une activité physique d’intensité modérée (exemple : la marche d’un pas vif) pendant au moins 2 h 30 ou une activité physique intense (exemple : une partie de football) pendant au moins 1 h15.

Il n’est pas toujours évident de trouver du temps pour faire du sport. L’alternative des cours en ligne avec un coach dédié peut être une solution pour être accompagné dans la reprise du sport ou dans l’accompagnement sportif régulier. En effet, grâce aux cours en ligne, vous pouvez :

  • Planifier vos séances de sport

Comme vous le faites pour un rendez-vous médical ou pour une réunion professionnelle, ajoutez votre séance de sport à votre planning de la semaine. Cela vous permet d’avoir un vrai rendez-vous sportif pour vous faire du bien et s’inscrit dans la régularité de la pratique.

  • Tester différentes activités

Vous avez la possibilité de faire du yoga, des cours plus cardio ou même du renforcement musculaire : vous pouvez tout tester si vous n’avez pas de contre-indication !

  • Bénéficier de conseils d’un professionnel pendant la séance

Comme pour un cours en salle, le coach vous accompagne, vous conseille, vous corriger et adapte les exercices si vous ressentez une douleur ou une gêne.

  • Y accéder de manière facile et rapide partout !

Vous pouvez vous connecter partout (de la maison, du travail, etc.) et aussi bien depuis votre tablette, votre ordinateur ou même votre smartphone.

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne à travers ses cours en ligne pris en charge par le fonds Solidarité-Prévention*. Connectez-vous directement à votre compte pour vous inscrire !

A vos marques, prêts, plus d’excuses pour ne pas faire de sport cette année…

* Réservés aux salariés de la branche des services de l’automobile.

En route pour le Dry January !

Le Dry January ou « défi de janvier ») est une campagne qui encourage les participants à faire un point sur leur relation avec l’alcool et à mieux contrôler leur consommation. Quels sont les bénéfices de ce défi et comment le relever de façon efficace ?

COMMENT FONCTIONNE LE DRY JANUARY ET QUELS SONT SES BÉNÉFICES ?

Le principe est simple : pas d’alcool pendant tout le mois de janvier… Pour organiser l’apéritif ou le dîner pendant ce moi du défi de janvier des alternatives gouteuses, bonne pour la santé et peu chères existent ici !

Selon une étude*, les raisons qui poussent les Français à relever le défi sont : la détox post fêtes de fin d’année (42 %), pour perdre du poids (38 %) ou évaluer sa dépendance à l’alcool (25 %).

Les effets bénéfiques sont parfois quasiment immédiats : une meilleure qualité de la peau (fraîche et belle), un sommeil amélioré qui permet d’être plus en forme, une perte de poids, une économie d’argent et surtout un sentiment de fierté d’avoir relevé le défi !

Même les personnes qui n’ont pas pu parvenir à une abstinence complète, mais qui ont réduit leur consommation, ont ressenti des effets bénéfiques sur leur santé.

COMMENT RELEVER LE DÉFI ?**

N’hésitez pas à relever le défi à plusieurs pour vous motiver en groupe et à suivre le #LeDéfiDeJanvier où vous retrouverez des conseils d’autres participants.

Vous pouvez également télécharger l’application « Try Dry » qui contient des astuces, des notifications pleines de motivation et vous permet de suivre de manière individualisée les bénéfices économiques et sanitaires de ce break !

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** Étude Omnibus de janvier 2021.

** Pour les personnes habituées à une forte consommation ou avec un risque de dépendance, il est recommandé de consulter un médecin.

Risque routier : les dangers de l’alcool au volant pendant les fêtes

À l’occasion des fêtes de fin d’année, il n’est pas rare de consommer de l’alcool de manière festive. Cependant, on ne le répétera jamais trop, boire ou conduire, il faut choisir !

L’alcool tient un rôle majeur dans la mortalité routière.

Selon les chiffres de la sécurité routière, il serait la cause principale d’au moins 20 % des accidents mortels*.

L’alcool au volant peut provoquer :

  • une mauvaise coordination des gestes ;
  • un allongement du temps de réaction ;
  • le trouble de la vision.

Il favorise également la somnolence.

L’alcool a un effet désinhibiteur et euphorisant qui modifie la perception des risques (vitesse, distance, conditions pour dépasser, etc.).

Contrairement aux idées reçues, à part le temps, rien ne peut faire baisser l’alcoolémie ! Il faut compter 1 à 2 heures après absorption pour éliminer une « dose d’alcool ». Par exemple, à 0,75 g/l, il faudra 5 heures pour revenir à 0.

Choisissez donc :

  • les soirées sans retour en voiture ;
  • la désignation d’un accompagnant SAM (personne nommée « capitaine de soirée », qui ne boira pas et conduira la voiture pour vous raccompagner) ;
  • ou de dormir sur place.

L’alcoolémie du lendemain :

Même après avoir dormi, le corps peut être encore alcoolisé le lendemain matin. En effet, tout dépend des quantités absorbées et de l’heure à laquelle la personne a arrêté de consommer de l’alcool.

Par exemple, une alcoolémie de 1,5 g/l dans le sang à 3 heures du matin est encore de 0,6 g/l le lendemain à 9 heures.

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* Source : securite-routiere.gouv.fr

Les bienfaits de la marche après le repas

Pour rester en forme mais aussi en bonne santé, il faut bouger : pourquoi ne pas le faire pendant sa pause déjeuner ou après le dîner ! Retrouvez nos astuces faciles et tous les bienfaits d’une marche digestive à ces moments de la journée…

Après un repas, surtout s’il est bien copieux, nous avons tendance à rester assis sans rien faire et cela rend plus difficile le processus de digestion.

La marche est une activité simple et gratuite qui peut être facilement intégrée dans la routine quotidienne, notamment après le repas.

Faire tous les jours une petite marche digestive de 15 minutes à intensité modérée le midi ou le soir nous aide à :

  • lutter contre les risques de maladies cardio-vasculaires ;
  • préserver son capital osseux car plus on marche, plus on limite les risques d’ostéoporose ;
  • contribuer à baisser son taux de sucre dans le sang ;
  • se prémunir du diabète de type 2* (étude parue dans la revue Sports Medicine)
  • favoriser la digestion ;
  • brûler quelques calories sans s’en apercevoir. Parce que même si la marche est une activité plus douce que la course par exemple, elle sollicite tout de même nos mollets, nos cuisses, nos fessiers, nos abdos et nos épaules ;
  • faire le plein de vitamine D. S’exposer 15 minutes le visage, les mains et les avant-bras à la lumière du soleil entre 11h et 14h 3 fois par semaine suffit et même si le ciel est voilé.

En plus de faire du bien au corps, la marche digestive à l’air libre nous permet de souffler, changer d’air, dé décompresser et d’évacuer les tensions accumuler depuis le matin. Après une marche digestive on revient apaisé, frais, et d’excellente humeur pour l’après-midi qui commence !

On l’aura compris après un repas, rien de tel qu’une petite marche digestive pour faire du bien à son corps et à sa tête !

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* 90 % des cas et se manifeste généralement à l’âge adulte, chez les individus de 40 ans et plus. Il peut apparaît chez des personnes de plus en plus jeunes, en raison entre autres de l’augmentation du taux d’obésité.