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#TOUTROULE, l'espace prévention et solidarité pour les professionnels de l'automobile.

On s’en lave les mains !

Pièce de monnaie, téléphone, poignée de porte, etc., nous sommes en permanence exposés aux microbes et aux saletés diverses. Pour les éviter, un seul moyen : un bon lavage de mains !

80 % des microbes se transmettent par les mains. Le lavage de mains est donc le moyen le plus efficace pour limiter la transmission des bactéries et les infections.

En milieu professionnel, la manipulation de produits chimiques doit se faire systématiquement avec des gants adaptés et être suivie d’un lavage de mains pour éviter une intoxication en cas de contact avec la bouche. En effet, si les conséquences ne sont pas immédiates, une exposition répétée peut, à terme, devenir nocive.

Afin de limiter ces risques d’infection, pensez à vous laver les mains systématiquement à l’eau et au savon :

  • AVANT de préparer les repas, de vous occuper d’un bébé, de manger et d’aller aux toilettes ;
  • APRÈS vous être mouché, avoir été aux toilettes, avoir utilisé les transports en commun et vous être occupé d’une personne malade.

L’utilisation du gel hydroalcoolique

Le gel hydroalcoolique est un désinfectant permettant de détruire les micro-organismes, dont les microbes. Il est utile lorsqu’il n’est pas matériellement possible de se laver les mains à l’eau et au savon.

Pour les enfants, il est recommandé de ne pas l’utiliser avant l’âge de 10 ans.

AVC : comment le détecter ? Comment réagir ?

Chacun d’entre nous peut, sans connaissance médicale, jouer un rôle majeur pour identifier les signes d’un Accident vasculaire cérébrale (AVC), pratiquer les bons gestes afin de limiter les séquelles. Lors d’un AVC, chaque minute compte, ToutRoule vous partage ses conseils pour réagir au plus vite.

Les AVC en France

L’Accident vasculaire cérébral (AVC) est une maladie grave qui se caractérise par une lésion d’une partie du cerveau à la suite de l’obstruction ou de la rupture d’un vaisseau sanguin. Il entraîne souvent un déficit neurologique.

L’AVC en chiffres* :

  • 1ère cause de handicap acquis de l’adulte ;
  • 3e cause de mortalité chez l’homme et la 2e chez la femme ;
  • Plus de 110 000 hospitalisations par an ;
  • 70 % de patients gardent des séquelles et 30 % décèdent dans l’année qui suit l’accident.

Les signes d’alerte à (re)connaître

Plus la prise en charge d’un AVC est rapide, moins les séquelles sont importantes. Voici les principaux signaux qui doivent immédiatement vous alerter :

  • déformation de la bouche ou engourdissement du visage (en règle général du côté gauche) ;
  • engourdissement d’un côté du corps (bras ou jambe) ;
  • cécité ou trouble transitoire de la vue ;
  • troubles de la parole.

Ces premiers symptômes peuvent disparaître au bout de quelques minutes, mais ils sont le signe d’un obstacle dans la circulation du sang dans le cerveau. Il faut donc agir très vite.

A prendre en compte certains symptômes peuvent être différents en fonction du sexe de la personne, à noter que pour les femmes les symptômes peuvent se manifester différemment et être associées à des douleurs brutales :

-douleur au ventre, vomissements, nausées ;

-céphalées intenses, hallucination ; crise d’épilepsie

-troubles visuels ou encore étourdissements

L’AVC peut toucher à tout moment un collègue, un voisin, un ami, etc. Proche ou inconnu, lui venir en aide au plus vite peut tout changer pour lui. Il en va de même pour vous !

Dès que vous constatez l’un des signaux d’alerte de l’AVC, contactez en urgence le 15 ou le 112 (de préférence depuis un téléphone mobile) et suivez les indications qui vous sont données.

Si vous êtes au travail, contactez d’abord le SST (sauveteur secouriste au travail). S’il est absent, contactez les urgences.

Les bons réflexes dans l’attente des secours :

  • allongez le malade avec, dans l’idéal, un oreiller sous la tête ;
  • notez l’heure de survenue des premiers signes de l’AVC ;
  • regroupez si possible des documents de santé le concernant (ordonnance par exemple) ;
  • ne lui donnez ni à boire ni à manger ;
  • ne lui donnez aucun médicament.

Les mesures de prévention

Il existe plusieurs facteurs de risque de l’AVC : hypertension artérielle, tabac, obésité abdominale, diabète, sédentarité, etc. Adopter une bonne hygiène de vie et pratiquer une activité physique régulière restent les meilleurs moyens de prévention connus. Prenez soin de vous !

* Chiffres et sources : Santé Publique France – Ameli

Détecter les signes de fatigue au volant

Un accident mortel sur trois est associé à la somnolence. Il est donc important de savoir détecter les signes de fatigue pour limiter les risques d’accident sur la route.

Quelques chiffres de la sécurité routière :

  • 17 heures de veille active équivalent à 0,5g d’alcool dans le sang ;
  • Le risque d’avoir un accident est 8 fois plus important lorsqu’on est somnolent ;
  • Sur l’autoroute, un accident mortel sur trois est associé à la somnolence.

Raideurs de la nuque et des épaules, besoin incessant de changer de position, engourdissement des jambes, bâillements répétés, picotement des yeux et clignement des paupières…

Ces signes doivent vous alerter… En effet, il est temps de faire une pause !

Il est recommandé de s’arrêter au moins 15 minutes toutes les deux heures pour réduire la sensation de fatigue, et détendre son dos et ses jambes.

N’hésitez pas à : bouger, marcher d’un bon pas, et faire quelques étirements avant de reprendre la route.

La veille du départ, faites une bonne nuit de sommeil (au moins 8 heures). Pensez également aux bons réglages (siège, rétroviseurs et volant) pour éviter les mauvaises postures  :

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ce sujet. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

La Journée internationale des personnes handicapées

Chaque 3 décembre, la Journée internationale des personnes handicapées est célébrée. En quoi consiste cette journée ? En tant que travailleur en situation de handicap comment être accompagné ?

La Journée internationale des personnes handicapées vise à promouvoir les droits et le bien-être des personnes en situation de handicap, et à sensibiliser les citoyens à leur situation, sur le plan politique, social, économique et culturel.

Les services de l’automobile comptent plus de 7 000 travailleurs en situation de handicap, représentant 1,7 % des salariés de la branche.

Ils sont notamment répartis sur les secteurs du commerce de véhicule et de la réparation mécanique.

L’inclusion du handicap est un aspect essentiel du respect des droits de l’Homme.

Il est possible de demander une reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) à la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH).

Cette RQTH permet de bénéficier d’aides spécifiques, et notamment d’un aménagement de son poste de travail si cela s’avère nécessaire.

Une aide financière de la part de l’Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph) pourra, à cet effet, être octroyée à l’employeur.

La RQTH est attribuée pour une durée de un à cinq ans et renouvelable. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre article sur la RQTH ici.

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Consommation d’alcool : préserver sa santé et limiter les risques

Qu’elle soit régulière ou occasionnelle, une prise excessive d’alcool peut être dangereuse. Pour préserver votre santé, il est important de connaître les risques et d’adopter un comportement adapté.

La consommation d’alcool peut entraîner :

  • de la fatigue ;
  • des pertes de mémoire ;
  • une baisse de lucidité ;
  • des comportements désinhibés.

Ces effets augmentent les risques sur la route (risque d’accidents accru) et en matière de comportements (relations sexuelles non désirées ou non protégées, contraction de maladies sexuellement transmissibles, conduites extrêmes ou dangereuses, etc.).

Si nous ne sommes pas tous égaux face à l’alcool, il n’y a pas de consommation sans risque. Même juste « pompette », il faut rester vigilant ! La règle communément admise pour cadrer sa consommation est la suivante : « Maximum 2 verres par jour et pas tous les jours », tout en ne dépassant pas 10 verres par semaine.

Si vous avez une sortie ou un moment convivial en perspective, rappelez-vous :

  • de boire lentement, en alternant avec de l’eau (1 verre d’alcool, 2 verres d’eau) pour limiter les risques de déshydratation ;
  • de ne pas rester l’estomac vide ;
  • de bien vous protéger du soleil (l’alcool augmente la sensibilité de la peau aux UV) ;
  • de ne pas boire avant la baignade (l’alcool augmente les risques de chocs thermiques et de noyade) ;
  • d’éviter les lieux et les activités à risque ;
  • de ne jamais laisser son verre sans surveillance et d’être accompagné de personnes de confiance susceptibles de garder un œil sur vous et de vous ramener.

Vous souhaitez prendre le volant ? Pensez toujours à avoir dans votre boîte à gant un éthylotest pour pouvoir vous tester avant de conduire. Si vous dépassez le taux d’alcool limite autorisé (0,5 g d’alcool par litre de sang soit 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré*), pas de doute : faites-vous raccompagner.

Vous souhaitez faire le point sur votre consommation d’alcool en général ? Le site www.alcoometre.fr vous permet d’évaluer votre consommation.

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* À noter : le taux limite est de 0.2 g par litre de sang pour les conducteurs titulaires d’un permis probatoire et en situation d’apprentissage.

Incivilités en entreprise, comment y faire face ?

L’exposition aux incivilités et à la violence en entreprise a des conséquences sur la santé (stress), le travail et les relations personnelles (conflits) des salariés. Quels sont les moyens de prévention pour désamorcer une situation tendue et apaiser la situation ?

Une des premières actions à mettre en place est de comprendre ce qu’il se passe dans l’esprit du client et d’analyser la situation. Pour cela il existe :

3 RÈGLES ESSENTIELLES :

  • Garder son calme
    • rester dans son rôle de professionnel en se concentrant sur la résolution du problème du client tout en gérant son stress ;
  • Trouver les mots justes :
    • reformuler les propos, rester objectif en exprimant précisément la problématique et faire preuve d’empathie* en montrant que vous comprenez la problématique ;
  • Rester positif
    • parler au présent en utilisant le « Je » et énoncer ce qui est possible.

IL CONVIENT AU MAXIMUM D’ÉVITER DE :

  • répondre à l’agressivité par de l’agressivité ;
  • utiliser des termes techniques que le client ne peut pas comprendre ;
  • éviter les mots et les phrases négatifs.

* L’empathie est une écoute active qui permet de se mettre à la place de l’autre afin de comprendre ses idées. Elle est très utile en cas de conflits.

Une attitude empathique repose sur 3 actions :

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Prendre soin de ses mains

Les mains est l’un des outils de travail indispensables des salariés des services de l’automobile. Elles sont mises à rudes épreuves, il est donc indispensable d’en prendre soin au quotidien.

Dans le cadre du travail manuel, il est en premier lieu nécessaire de porter des équipements de protection individuelle (EPI), à savoir ici des gants de protection. Ils doivent être portés tout au long de l’activité, et être adaptés à la situation. Pa exemple, pour l’utilisation d’une lame coupante, des gants en Kevlar sont recommandés.

Afin de prévenir des pathologies fréquentes types apparition du syndrome du canal carpien ou la tendinite des doigts, il est conseillé dans le cadre d’un suivi en médecine du travail d’aménager son poste et de bénéficier de matériels adéquats.

Que ce soit aussi bien dans sa vie privée que dans sa vie professionnelle : pour cuisiner, bricoler ou jardiner, il est conseillé de toujours porter des gants de protection !

Pour savoir comment choisir ses gants de protection, n’hésitez pas à cliquer ICI

Enfin, il est important de ne pas tirer ses peaux et de ne pas se ronger les ongles. Ces actions favorisent en effet les infections telles que les panaris.

Port de charges lourdes : comment préserver son corps

Que vous soyez confrontés de manière ponctuelle ou régulière au port de charges lourdes, il est essentiel de connaître les bonnes postures à adopter pour préserver votre santé.

La manutention de charges lourdes regroupe toute activité nécessitant de recourir à la force pour soulever, abaisser, transporter ou déplacer quelque chose.

Elle peut entraîner, en plus d’une fatigue musculaire, des risques de :

  • plaies ;
  • douleurs dorsales ;
  • fractures ;
  • déchirures musculaires.

Ces risques sont amplifiés en cas de mauvaise posture (corps en position instable, torsion du buste, etc.) et dépendent du type de charge (poids, volume), de l’ambiance de travail (forte cadence, stress, etc.) ainsi que des distances à parcourir. Dans les pires des cas, les manutentions manuelles de charges peuvent entraîner des accidents du travail ou l’apparition de maladies professionnelles.

Pour éviter cela, il est important :

  • d’utiliser si possible des outils d’aide à la manutention (chariots, diables, etc.) ;
  • d’adopter une position stable (pieds bien ancrés au sol) ;
  • de connaître les bonnes positions à privilégier.

Si vous devez soulever une charge lourde :

  • rapprochez-vous au maximum de la charge ;
  • pliez les jambes pour vous placer à hauteur de la charge à porter ;
  • gardez le dos droit ;
  • écartez vos pieds de la largeur de votre bassin et placez-les toujours dans l’axe de votre corps afin d’éviter les torsions et rotations du dos ;
  • assurez votre prise au niveau des mains ;
  • gardez les bras tendus lors du port de la charge ;
  • n’hésitez pas à solliciter l’aide d’un collègue ;
  • aidez-vous de points d’appui (mur ou table par exemple).

Que dit le Code du travail ?

Le Code du travail stipule qu’en entreprise, les hommes ne peuvent pas porter de charges supérieures à 55 kg sans y avoir été reconnus aptes par le médecin du travail. Ces charges ne peuvent pas excéder un poids supérieur à 105 kg. Les femmes ne peuvent pas porter de charges supérieures à 25 kg, ni transporter de charges supérieures à 40 kg à l’aide d’un outil d’aide au levage comme un chariot.

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Nutrition : préparer son corps avant un gros effort

Équilibrer ses repas est essentiel lorsque l’on travaille et qu’on pratique un sport. Selon l’heure à laquelle vous décidez de vous entraîner, il faudra adapter vos repas. ToutRoule fait le point avec vous

Entraînement le MATIN avant le travail :

  • prendre une collation légère avant le sport ;
  • après le sport : prendre son petit-déjeuner.

Entraînement à la PAUSE-DÉJEUNER :

  • collation avant la séance ;
  • déjeuner équilibré après la séance (féculents, protéines, légumes, eau).

Entraînement APRÈS LE TRAVAIL en fin de journée :

  • collation dans l’après-midi ;
  • dîner équilibré après la séance (féculents, protéines, légumes, eau).

Qu’est-ce qu’une collation ?

C’est un apport alimentaire supplémentaire léger et digeste. L’horaire est défini en fonction de votre faim, de votre fatigue pendant votre séance de sport et de l’heure du repas qui suit ou qui précède la séance.

Testez différents formats et différents types de collation jusqu’à trouver celle qui vous correspond. Voici quelques idées de collation avant une séance de sport :

  • 1 compote (30 minutes avant)
  • 1 fruit cru (1 heure avant)
  • 1 fromage blanc + 1 fruit (2 heures avant)
  • 1 portion de pain + fromage ( 2h à 3h avant).

N’oubliez pas de vous hydrater !

La plupart des blessures des sportifs sont dues à une déshydratation régulière : douleurs aux muscles, tendons, ligaments, claquage, entorse, coup de chaleur, crame, etc. Les signes de la déshydratation sont la fatigue, des maux de tête, une gorge sèche, etc. Il est très important de boire avant d’avoir soif :

  • pour rester hydrater pendant une séance de sport prenez 2-3 gorgées pendant la séance toutes les 15 minutes ;
  • pour vous réhydrater après la séance : pesez-vous avant et après la séance pour évaluer la perte en eau, réhydratez-vous 1,5 fois le volume d’eau perdue.

Vous voilà fin prêt pour votre entraînement !

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Les bienfaits de l’échauffement physique

Au travail ou à la maison, il est nécessaire de préparer son corps à un effort physique. L’échauffement permet de déverrouiller les articulations, d’échauffer les muscles et, donc de diminuer le risque de blessures.

Pour les salariés ayant un emploi physique, l’échauffement s’effectue avant la prise de poste ou après un arrêt prolongé, telle que la pause-déjeuner. Seules une dizaine de minutes sont nécessaires pour préparer correctement votre corps à l’effort à venir.

1er exemple d’exercice :

En 2020, objectif forme !

2ème exemple d’exercice :

En 2020, objectif forme !

N’hésitez pas à motiver vos collègues pour faire de l’échauffement un moment convivial et fédérateur.

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On vous dit tout sur le casque pliable

A vélo, le port du casque pour les plus de 12 ans n’est pas obligatoire mais fortement recommandé. La question du sort du casque une fois arrivé à destination se pose. Et si le casque pliable s’avérait être une bonne alternative ? ToutRoule fait le point.

Le casque pliable se plie sur lui-même afin de réduire son volume de deux à trois fois, pour se glisser facilement dans un sac. L’objectif : avoir un dispositif de sécurité qui protège sans encombrer.

Pour le moment réservé aux adultes et ne permettant pas encore un usage sur des véhicules rapides, le casque pliable demeure très intéressant pour toute personne utilisant le vélo, le vélo électrique (à l’exception des speedbikes, qui nécessitent le port d’un casque spécifique), le gyroroue, la trottinette, la trottinette électrique, le skate et les rollers.

Un casque pliable est léger et donne donc la possibilité de faire de longs trajets sans que son poids devienne une torture pour la nuque. Habituellement, un tel casque d’une bonne qualité pèse moins de 500 grammes. De plus, sa légèreté ne signifie pas absence de solidité.

Selon le matériel utilisé, un casque pliable peut encaisser les chocs avec la même efficacité qu’un casque standard, si ce n’est mieux. D’ailleurs, comme la plupart des casques, le casque pliable dispose d’une sangle ajustable afin d’assurer son maintien. Quel que soit le casque, le maintien est d’une importance capitale afin de bien le maintenir sur la tête de son utilisateur pour le protéger au mieux.

Le casque pliable suit des normes bien précises afin d’être à la fois d’une très bonne solidité, mais aussi d’un grand confort.

Plusieurs modèles de casques existent sur le marché. Le choix du casque doit se faire en fonction de votre utilisation et de vos critères personnels.

La révision du vélo à assistance électrique (VAE)

Le vélo à assistance électrique (VAE), que nous appelons plus communément « vélo électrique » a de nombreux atouts. Il peut circuler aussi bien en ville qu’en tout terrain et en plus de favoriser l’activité physique il est bon pour l’environnement. Comment et quand entretenir son VAE pour circuler en toute sécurité ?

1. L’entretien du vélo électrique au quotidien

Le vélo à assistance électrique (VAE) s’entretient comme un vélo classique : les pièces mécaniques sont similaires. Il faut donc inspecter régulièrement l’état de :

  • la transmission (chaîne ou courroie, pédalier, dérailleur, cassette et pignons) ;
  • les freins (câbles, plaquettes, gaines) ;
  • les pneus.

Ensuite, il faut également vérifier les pièces spécifiques à un vélo électrique : la batterie, le moteur, les faisceaux et le système électronique.

Les technologies employées pour les batteries actuelles, ne nécessitent pas d’entretien particulier. Seules quelques recommandations sont à respecter concernant :

Le stockage

Stocker la batterie dans un endroit sec à température stable. Si une batterie n’est pas utilisée durant plusieurs semaines ou même plusieurs mois, il est conseillé de l’enlever du vélo et de la stocker dans une pièce à l’abri de la lumière, à une température restant aux alentours de 20°.

La température

Ne pas stationner un VAE avec sa batterie en plein soleil ou sous la neige. Il convient de retirer la batterie et de stationner le vélo dans un endroit à l’abri. Il est possible d’utiliser des housses de protection spéciales vélo électrique ou des caches de connecteurs de batterie.

Les chocs

Si une batterie de VAE subit un choc important, une simple chute à hauteur d’homme ou un accident, elle peut ne pas se rallumer. Dans ce cas, un diagnostic auprès du détaillant ou du fabricant est à effectuer.

2. Quand faire une révision chez un professionnel

Pour un cycliste occasionnel, il est conseillé d’effectuer au minimum une révision annuelle chez un professionnel.

Pour une utilisation au quotidien, par exemple pour se rendre au travail, il est judicieux de faire contrôler son équipement une fois par semestre.

Un VAE exige des mises à jour logicielles. Les secousses quotidiennes du vélo peuvent entraîner des dysfonctionnements délicats à diagnostiquer (ruptures de câbles, faux contacts électriques, etc.) et qui génèrent différents problèmes (extinction intempestive du vélo, perte de puissance, etc.). Les professionnels sont aussi équipés pour contrôler l’état d’usure de la batterie (autonomie restante, tension des cellules, etc.). Un diagnostic coûte entre 30 et 35 € selon les enseignes.

En résumé, un VAE s’entretient relativement de la même manière qu’un vélo musculaire. Une inspection régulière, un passage annuel (ou biannuel) chez le vélociste, un stockage dans de bonnes conditions, et vous voilà assurer de faire un long chemin…