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#TOUTROULE, l'espace prévention et solidarité pour les professionnels de l'automobile.

L’incontournable de l’hiver : la soupe !

Longtemps considérée comme un plat réservé aux personnes d’un certain âge, la soupe a aujourd’hui de nouveau la côte. Facile à préparer, atteignant l’objectif de 5 fruits et légumes par jour en un seul plat, elle a également d’autres atouts pour notre santé… ToutRoule se met à table pour vous les partager.

Épaisse ou légère, elle est un incontournable des repas d’hiver. Concoctée dans l’idéal à base de légumes de saison, la soupe regorge de bienfaits. Retrouvez ses 5 atouts principaux :

  1. riche en vitamines et minéraux grâce aux légumes qu’elle contient ;
  2. hypocalorique, ce qui en fait un allié minceur, à condition de ne pas la surcharger en féculents, en beurre ou en crème (un bol de soupe de légumes apporte en moyenne 100 à 150 kcal) ;
  3. hydratante, grâce à l’eau de cuisson qui se couple à l’eau des légumes ;
  4. riche en fibres (un bol de soupe apporte jusqu’à 25 % des apports conseillés par jour, surtout s’il contient légumes et légumineuses), ce qui facilite le transit intestinal ;
  5. enfin, elle réchauffe, ce qui est important en hiver !

Le risque de se lasser de la soupe faite maison est faible, tant les possibilités sont illimitées. Carottes, épinards, blettes, choux, oignons, potiron, etc. Tous les légumes d’hiver sont bienvenus dans les soupes et peuvent être accompagnés de viandes, de poissons, de pâtes, de riz, d’épices et d’herbes au gré de nos envies.

Pensez-y, la soupe n’est pas qu’un plat d’hiver grâce aux :

  • soupes froides. Elles désaltèrent et apportent de la fraîcheur au cœur de l’été. Les soupes froides sont aussi simples à réaliser et donnent une touche tendance à vos menus. On pense au gaspacho andalou, bien sûr, mais pas seulement : soupes glacées de courgettes, velouté de petits pois, soupe de melons, etc.
  • soupes de fruits. Les fruits aussi sont excellents mixés ou moulinés. Ils se dégustent avec légèreté, tout au long de l’été, ou en desserts, toute l’année. Fruits rouges, agrumes, fruits exotiques, etc.

Alors, soupe ou pas soupe ? 😉

Tout savoir sur le rendez-vous de liaison

Le rendez-vous de liaison est un dispositif introduit par la loi du 2 août 2021. Quel est son objectif ? Est-il obligatoire pour le salarié ? ToutRoule répond à ces questions et vous donne rendez-vous pour en savoir plus.

Le rendez-vous de liaison n’est pas un rendez-vous médical, mais une rencontre, facultative, organisée entre l’employeur et le salarié en arrêt de travail. Il est organisé à l’initiative soit de l’employeur ou du salarié.

Pourquoi et pour qui organiser un rendez-vous de liaison ?

Il permet, au salarié en arrêt de plus de 30 jours (continu ou discontinu), de faire un point avec son employeur pour mieux préparer son retour au travail.
Il vise à informer le salarié sur les mesures d’accompagnement possibles, selon sa situation : aménagement du poste ou du temps de travail, visite de pré-reprise, etc.

L’objectif principal du rendez-vous de liaison est de renforcer la prévention en santé au travail en créant une rencontre entre le salarié et son employeur pour anticiper et aménager, si besoin, le retour au travail.

Suivant la situation et les éventuels besoins identifiés, le Service de Prévention et de Santé au Travail peut y être associé sous différentes formes.

Le saviez-vous ?

Si l’employeur est à l’initiative du rendez-vous de liaison, le salarié peut le refuser.
Le salarié peut également demander à être accompagné du référent handicap quand il existe dans l’entreprise et ce dernier est tenu à une obligation de discrétion.

Risque chimique : comment éviter un départ de feu ?

Le risque d’incendie n’est pas à prendre à la légère. Le départ de feu peut engendrer des dégâts plus ou moins importants : retrouvez nos conseils pour réduire ce risque.

Pour qu’un incendie se produise, 3 éléments doivent être présents ensemble au même moment :

#1 – Combustible : essence, solvants, etc.

#2 – Comburant : dioxygène, ozone, etc.

#3 – Énergie d’activation : étincelle, soleil, etc.

Pour éviter le départ de feu, il faut IMPÉRATIVEMENT éviter l’association de ces 3 éléments.

Pour réduire le risque de départ de feu, voici les mesures de prévention à suivre :

  • Stocker les produits inflammables dans des armoires anti-feu, sur un bac de rétention ;
  • Ne pas fumer/vapoter dans un atelier ou un local à risque ;
  • Installer un système d’alarme incendie et du matériel de lutte contre l’incendie (extincteurs).
= Les 3 mesures de prévention.

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Téléphone ou conduite ? Il faut choisir

Le téléphone au volant multiplie par 3 le risque d’accident et lire un SMS au volant multiplie par 23 ce risque* ! Le Code de la route interdit d’utiliser son téléphone au volant. Quelles sont les sanctions et les dangers en cas de non-respect de l’interdiction ? ToutRoule fait le point et vous partage ses conseils pour débrancher !

80 % des Français reconnaissent utiliser leur téléphone en conduisant**.

En tant que conducteur, il est nécessaire d’être concentré sur la route pour réagir rapidement et maîtriser sa conduite. Le téléphone est un distracteur. Détourner les yeux de la route pour l‘utiliser augmente considérablement le temps de réaction et la distance d’arrêt lors d’un freinage et aggrave n’importe quel accident corporel notamment entre une voiture et un piéton ou un deux-roues.

Le conducteur est sanctionné d’une amende forfaitaire de 135€ et d’un retrait de 3 points du permis de conduire en cas :

  • de conduite avec un téléphone à la main et de consultation ou manipulation de son téléphone en conduisant ;
  • de port à l’oreille de tout dispositif susceptible d’émettre du son (conversations téléphoniques, musique, radio, etc.)

Si un conducteur tient son téléphone en main en même temps qu’il commet une autre infraction, il risque la rétention immédiate de son permis de conduire, qui pourra être suivie d’une suspension administrative du permis de conduire pour une durée maximale de six mois.

Voici nos conseils pour ne pas être tenté d’utiliser votre téléphone au volant :

  • placez votre téléphone hors de votre champ de vision direct ;
  • anticipez vos appels avant de prendre le volant ;
  • si vous n’avez pas pu anticiper vos appels, faites une pause en vous garant moteur éteint pour passer vos appels ;
  • si vous êtes accompagné, n’hésitez pas à demander à votre interlocuteur de décrocher et répondre à votre place.

À votre avis…
Peut-on être verbalisé si l’on téléphone dans sa voiture à l’arrêt ?

Une voiture est considérée comme étant en circulation même si elle est à l’arrêt dans les embouteillages, à un feu rouge ou sur le bord de la route. L’usage du téléphone tenu en main dans ces conditions est donc toujours interdit et vous risquez d’être verbalisé.
Pour pouvoir téléphoner dans sa voiture, le véhicule doit être garé moteur éteint, sur un stationnement autorisé, un parking ou une place de stationnement.

Vous souhaitez en savoir plus sur l’hyperconnexion et obtenir des conseils ? Cliquez ICI pour consulter notre article.

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* Source : Sécurité Routière.

** Baromètre AXA Prévention 2022.

Travailler par temps froid : les bons réflexes à adopter

De nombreuses activités de la branche des services de l’automobile, tels les dépanneurs automobiles, les mécaniciens garage s’exercent en extérieur ou dans des ateliers peu chauffés. Il est essentiel de bien se préparer si on travaille par temps froid. Retrouvez les bons réflexes à adopter…

Hypothermie, glissades, gelures, fatigue accrue, assoupissements, etc. Les risques liés aux activités par temps froid sont nombreux.

En milieu extérieur, ces effets sont accentués par le vent. Lorsque celui-ci est fort et que l’exposition est longue, un risque d’hypothermie apparaît : la température interne de notre corps n’arrive plus à se réguler à 37 degrés et diminue. À 35 degrés, il s’agit du premier stade de l’hypothermie. Lorsque la température de notre corps atteint 28 degrés, les fonctions vitales sont sévèrement touchées.

Le froid peut donc avoir d’importantes répercussions, à la fois sur la santé (crispation, engourdissement, maladie, etc.) et sur la qualité du travail (accidents dus à des glissades, pertes de dextérité, etc.).

Voici des réflexes de prévention à adopter pour lutter contre le froid :

  • Couvrez-vous bien la tête, les pieds et les mains ; en effet les extrémités sont les premières parties à se refroidir quand la température baisse ;
  • Veillez à votre alimentation et, en complément, n’hésitez pas à opter pour des soupes, ainsi que pour des aliments qui font monter la sensation de chaleur (champignons, potirons, carottes, pommes de terre, riz, sarrasin, lentilles, haricots secs, noix, épices, aromates, oignons, ail, moutarde, etc.) ;
  • Hydratez-vous, puisqu’il est conseillé de boire 1,5 litre d’eau par jour et de privilégier les boissons chaudes.

Bon à savoir !

Avant la prise de poste, IRP AUTO Solidarité- Prévention vous propose un programme d’échauffement afin de mettre votre corps en mouvement et de prévenir le risque d’accident.

Parlez-en à votre responsable.

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Vacances d’hiver : bien préparer son déplacement sur la route

Conduire sur la neige ou le verglas est toujours plus compliqué qu’en conditions normales. Suivez nos conseils pour conduire en toute sécurité !

AVANT DE PRENDRE LA ROUTE

  • renseignez-vous sur les conditions météo à venir ;
  • contrôlez la pression et l’état de vos pneus ;
  • vérifiez les niveaux : huile de moteur, liquide de freins, liquide de direction assistée, liquide de refroidissement et liquide lave-glace ;
  • changez vos balais d’essuie-glaces (ils doivent être remplacés tous les ans) car ils sont davantage sollicités en raison des précipitations d’eau et de neige ;
  • testez votre batterie pour contrôler que celle-ci est correctement chargée ;
  • dégivrez votre pare-brise, les vitres, rétroviseurs et phares avec une raclette.

BIEN ÉQUIPER SON VÉHICULE

  • optez pour des pneus hiver dès que la température descend en-dessous de 7 degrés ;
  • entre le 1er novembre et le 31 mars, dans 34 départements autour des massifs montagneux*, il est obligatoire d’équiper son véhicule en pneus hiver ou de détenir des chaînes ou chaussettes à neige.

PENDANT LE TRAJET

  • augmentez les distances de sécurité ;
  • réduisez votre vitesse ;
  • allumez vos feux de croisement et enclenchez vos essuie-glaces lorsque la neige tombe.

Bon à savoir :
Les véhicules supportent mal les départs à froid. Il est recommandé de faire tourner le moteur plusieurs minutes avant de rouler. Le moteur va ainsi monter progressivement en température ce qui réduit les risques de casse.

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* Liste des départements concernés ICI.

Bien s’hydrater même en hiver

En hiver, les cas de déshydratation sont aussi fréquents qu’en été, notamment chez les personnes âgées et les nourrissons. Quels sont les risques d’une déshydration en hiver ? Et surtout, comment l’éviter ?

Durant l’hiver, nous pouvons penser que la déshydratation est improbable, car nous transpirons moins par rapport à l’été et que la température ambiante est basse, néanmoins le risque de déshydratation existe car :

  • nous avons tendance à surchauffer les pièces et quand les températures sont élevées, les pertes d’eau suivent ;
  • l’air est plus sec et bien sûr plus froid ce qui contribue au dessèchement de la peau, des cheveux et des muqueuses ;
  • contrairement à l’été, nous sommes sujets à des virus comme la grippe ou la gastro et dans ces cas, notre corps se déshydrate davantage.

Pour éviter la déshydratation, la solution est de boire au minimum 1,5 litre d’eau tous les jours (soit 6 à 8 verres), de consommer des soupes et des aliments riches en eau comme les fruits et légumes (poire, pomme, carotte, agrumes, etc.) mais aussi les produits laitiers.

La déshydratation peut engendrer un ralentissement des performances physiques et mentales, et peut entraîner de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires, des crampes. Voire des états de faiblesse ou de confusion.

Une chose est sûre, buvez autant en hiver qu’en été, votre corps en a besoin et vous améliorez votre bien-être, le sommeil et l’équilibre !

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Comment bien réagir en cas d’accident ?

Que vous soyez témoin d’un accident, à votre domicile ou au travail, il est important de garder votre calme afin d’y faire face sereinement et d’éviter le suraccident. Voici nos conseils pour appliquer le principe du PAS.

Lorsqu’un accident survient, plusieurs actions s’imposent. Ces actions répondent au principe du PAS : PROTÉGER – ALERTER – SECOURIR

PROTÉGER

La première chose à faire est de sécuriser le périmètre afin de ne pas aggraver l’accident (suraccident).

ALERTER

Après une analyse de la situation, alertez le plus rapidement possible votre sauveteur secouriste du travail et appelez les secours.

Il existe plusieurs numéros d’urgence :

  • 15 : SAMU
  • 18 : Sapeurs-pompiers
  • 17 : Police
  • 112 : Appel d’urgence européen accessible
    où que vous soyez dans l’Union européenne

SECOURIR

Une fois le danger écarté et les secours alertés, certaines règles doivent être respectées pour venir en aide à la personne.  Par exemple : le couvrir avec un vêtement ou une couverture (un état de choc s’accompagne généralement d’une sensation de froid).

Bon à savoir:

Lorsque vous portez secours, il ne faut SURTOUT PAS donner à boire, à manger ou un médicament à un blessé (l’estomac doit être, dans la mesure du possible, vide. Cela permet de réduire les risques de complication lors d’une anesthésie).

Préserver ses genoux au travail

Dans les services de l’automobile, les salariés peuvent être amenés à travailler à genoux lors de l’entretien et de la réparation des véhicules. Une posture genou à terre prolongée peut être douloureuse sur le court terme et source de maladies professionnelles sur le long terme. ToutRoule vous explique comment préserver cette articulation.

Travailler à genoux : les risques


Poncer un bas de caisse, nettoyer des jantes, changer un pneumatique au sol, etc. Autant de situations de travail pour lesquelles les salariés peuvent être amenés à travailler à genoux.

Cette position peut être à l’origine d’éraflures, ecchymoses et d’engourdissements à court terme. Maintenue et répétée sur de longues périodes, elle peut notamment être responsable sur le long terme de l’apparition d’un hygroma du genou, une affection caractérisée par l’inflammation de la bourse séreuse qui sert d’amortisseur du genou.
Elle peut également entraîner une altération des ménisques, morceaux de cartilage qui jouent un rôle essentiel de stabilisation de l’articulation et d’amortissement.

Comment se préserver


Pour éviter les risques, il est important de respecter certaines bonnes pratiques :

  1. S’échauffer
    Les échauffements protègent les genoux car ils permettent de stimuler la fabrication du liquide synoviale qui aide à la lubrification de l’articulation.
  2. Utiliser les moyens techniques mis à votre disposition
    Privilégier l’utilisation de tabourets ou des sièges ergonomiques afin d’éviter autant que possible de travailler en position agenouillée.
  3. Adopter la bonne posture
    Si vous devez travailler à genou, préférer une position avec un genou à terre, plié à 90 degrés et l’autre genou en fente avant, pied au sol, en veillant à alterner régulièrement le genou qui est au sol
  4. Utiliser des équipements de protection
    Porter une tenue de travail incorporant des plaques de protection de type 2 (conforme à la norme EN 14404)
    Attention : éviter les genouillères à sangle qui entravent les mouvements et la circulation sanguine
    Il est également possible d’utiliser un tapis en mousse de polyuréthane pour les interventions ponctuelles.

Le saviez-vous ?
Pour protégez ses genoux d’éventuels chocs, efforts ou frottements, il est possible d’utiliser des genouillères. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre article ICI

Acariens : comment les éviter, même en hiver !

Vous avez le nez qui coule sans arrêt ? Et si c’était une allergie aux acariens et non un rhume ? Retrouvez les bons gestes de ToutRoule pour éviter que ces parasites ne viennent hiberner chez vous…

Les acariens sont des parasites pouvant survivre à toutes les températures des différentes saisons à l’intérieur de nos appartements et maisons, et ce : même l’hiver !

On en trouve dans la poussière, la literie, la moquette, les vêtements, les peluches des enfants, etc.

Le chauffage et la conservation de l’humidité, par manque d’aération, sont des conditions propices à la prolifération de ces insectes durant cette saison.

Invisibles à l’œil nu, ces arachnides microscopiques (ils mesurent entre 0,1 à 0,5 mm) peuvent provoquer de la toux, des picotements aux yeux ou des démangeaisons.

Pour éviter leur prolifération, il est recommandé de :

  • aérer au moins 20 minutes par jour ;
  • maintenir une température dans la chambre de 19 degrés maximum ;
  • dépoussiérer les meubles régulièrement avec un chiffon humide et non un plumeau ;passer l’aspirateur deux à trois fois par semaine ;
  • réduire les « nids à poussière »: peluches, rideaux épais, meubles rembourrés, livres (si les bibliothèques sont ouvertes) et d’enlever, si possible, la moquette et les tapis ;
  • nettoyer son linge de lit à 60°C, température à laquelle les acariens ne survivent pas.

Il est également possible d’envelopper son matelas d’une housse anti-acariens. Ces housses (lavables à 60°C) sont imperméables aux acariens et à leurs particules de selles.

3 conseils gagnants pour combattre la fatigue en hiver

Fatigue au réveil, baisse d’envie en journée, envie de compenser par la nourriture… et tout ça pendant l’hiver ? Votre organisme souffre peut-être de la fatigue hivernale. Heureusement, quelques bonnes habitudes peuvent vous permettre de vite retrouver du tonus ! ToutRoule vous dit tout !

Pour combattre la fatigue, notamment au milieu de l’hiver, l’hygiène de vie est primordiale. Elle repose sur 3 piliers :

  • un sommeil réparateur ;
  • une alimentation équilibrée ;
  • la pratique régulière d’une activité physique.

1°) Un sommeil réparateur

Pour affronter le froid, la grisaille et les journées qui raccourcissent, nous avons tous besoin de plus de repos. Mais pour avoir un sommeil récupérateur, il est important d’avoir des horaires réguliers de coucher et de lever.

Même le week-end, limitez la grasse matinée ! Les heures de lever et de coucher ne doivent pas varier de plus d’une heure par rapport à celles de la semaine, au risque de dérégler l’horloge biologique et d’en subir les conséquences les jours suivants.

Évitez également les repas trop copieux et les sources de lumière (télévision, ordinateurs, tablettes, etc.) avant le coucher car ils rendent plus difficiles l’endormissement.

2°) Une alimentation équilibrée

Pendant cette période, consommez :

🥦 des aliments riches en sels minéraux et vitamines comme les végétaux verts ;

🍋 des fruits riches en vitamines C comme (le citron, l’orange ou le kiwi) ;

🌰 de bonnes graisses qui se trouvent par exemple dans les oléagineux comme les noix ou les amandes (toujours en petite quantité car ils sont assez caloriques) ;

🍜 des soupes de légumes, idéales pour se réchauffer et consommer des légumes sous une autre forme.

Pendant l’hiver, il ne faut pas oublier de s’hydrater car si le corps manque d’eau il se fatigue. Il est également recommandé de réduire s consommation de café à un par jour. En effet, le café déshydrate et empêche de bien dormir. Pour en savoir plus.

3°) La pratique régulière d’une activité physique

L’activité physique réduit la fréquence et la gravité des infections respiratoires de l’hiver.

Le sport permet de retrouver du tonus, de bénéficier d’un sommeil de meilleure qualité mais aussi, d’évacuer le stress et d’apprendre à le canaliser. Pour profiter des bienfaits du sport, il est recommandé de faire 30 minutes d’activité modérée chaque jour, ou deux séances par semaine d’activité modérée à intense, d’une durée totale de 2 à 2h30.

Si vous n’avez pas toujours le temps, une marche de trente minutes par jour peut suffire ou vous pouvez aussi danser ou monter et descendre les escaliers…

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Les bons gestes pour réduire le risque routier au réveillon

À l’occasion des fêtes de fin d’année, il est important de conduire dans les meilleures conditions. ToutRoule fait le point sur les risques routier et les bonnes pratiques pour que tout roule sur la route !

Quand nous pensons fêtes de fin d’année et conduite, le premier risque qui nous vient est celui de l’alcool au volant. Près de 30% des accidents mortels sont dus à une prise excessive d’alcool*.

1 – L’alcool au volant peut provoquer :

  • une mauvaise coordination des gestes ;
  • un allongement du temps de réaction ;
  • le trouble de la vision.

Il favorise également la somnolence.

Il est recommandé de :

  • privilégier les soirées sans retour en voiture ;
  • désigner un accompagnant SAM (personne nommée « capitaine de soirée », qui ne boira pas et conduira la voiture pour vous raccompagner) ;
  • dormir sur place.

Vous souhaitez prendre le volant ? Pensez toujours à avoir dans votre boîte à gant un éthylotest pour pouvoir vous tester avant de conduire. Si vous dépassez le taux d’alcool limite autorisé (0,5 g d’alcool par litre de sang soit 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré**), pas de doute : faites-vous raccompagner.

2 – La conduite de nuit

Représentant moins de 10 % des kilomètres parcourus, la nuit est pourtant impliquée dans près de la moitié des décès sur la route**.

Une fois la nuit tombée, l’insécurité routière est plus élevée, notamment en raison du manque de visibilité.

Retrouvez nos 9 conseils pour conduire la nuit en cliquant ICI.

3 – Les conditions météorologiques

Lorsque les routes sont enneigées, les conditions de circulation sont évidemment plus difficiles. Si vous devez prendre votre véhicule, pensez à :

  • remplir le réservoir du liquide lave-glace avec un produit antigel (réduire les risques en cas de verglas) ;
  • vérifier les pneus, mais aussi le bon fonctionnement de la batterie et des systèmes d’allumage, d’alimentation, de dégivrage et de chauffage ;
  • avoir des équipements adaptés : chaînes ou pneus spéciaux.

Sur la route, réduisez votre vitesse et respectez les distances de sécurité.

En cas de chute de neige, les feux de brouillard avant peuvent remplacer ou compléter les feux de croisement et les feux de brouillard arrière peuvent également être utilisés en cas de forte chute de neige.

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* Source : securite-routiere.gouv.fr

** À noter : le taux limite est de 0,2 g par litre de sang pour les conducteurs titulaires d’un permis probatoire et en situation d’apprentissage.

*** Source : lelynx.fr