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Mis en avant

Prêt à relever le défi du dry january ?

La diète après les fêtes fait souvent partie des bonnes résolutions. Pourquoi alors ne pas tenter le Dry January (« janvier sobre ») ? Il met au défi les volontaires de ne pas boire d’alcool pendant tout le mois de janvier.

Le Dry January est un concept imaginé par une association britannique afin d’encourager les participants à faire un point sur leur relation avec l’alcool et à mieux contrôler leur consommation. L’année dernière, au Royaume-Uni, plus de 5 millions de personnes y ont participé.

DES BIENFAITS IMMÉDIATS SUR LA SANTÉ

Dès les premiers jours, les participants observent une meilleure qualité de sommeil, une perte de poids, une hausse d’énergie, une meilleure concentration et une amélioration de la qualité de leur peau.

Même les personnes qui n’ont pas pu parvenir à une abstinence complète, mais qui ont réduit leur consommation, ont ressenti des effets bénéfiques sur leur santé.

Une étude de l’université du Sussex (groupe d’étude suivi pendant six mois, jusqu’en août 2018) démontre également que « le simple fait de passer un mois sans alcool aiderait les gens à moins boire sur le long terme ». Au mois d’août, les participants ont ainsi rapporté boire 3,3 jours par semaine, contre 4,3 l’année d’avant.

Enfin, le Dry January permet de réaliser une économie d’argent non négligeable.

ÊTES-VOUS PRÊT À RELEVER LE DÉFI ?*

Parlez-en autour de vous.

À plusieurs, c’est plus facile, et vous pourrez échanger des astuces et recettes de boissons sans alcool.

* Pour les personnes habituées à une forte consommation ou avec un risque de dépendance, il est recommandé de consulter un médecin.

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Acariens : comment les éviter, même en hiver !

Vous avez le nez qui coule sans arrêt ? Et si c’était une allergie aux acariens et non un rhume ? Retrouvez les bons gestes de ToutRoule pour éviter que ces parasites ne viennent hiberner chez vous…

Les acariens sont des parasites pouvant survivre à toutes les températures des différentes saisons à l’intérieur de nos appartements et maisons, et ce : même l’hiver !

On en trouve dans la poussière, la literie, la moquette, les vêtements, les peluches des enfants, etc.

Le chauffage et la conservation de l’humidité, par manque d’aération, sont des conditions propices à la prolifération de ces insectes durant cette saison.

Invisibles à l’œil nu, ces arachnides microscopiques (ils mesurent entre 0,1 à 0,5 mm) peuvent provoquer de la toux, des picotements aux yeux ou des démangeaisons.

Pour éviter leur prolifération, il est recommandé de :

  • aérer au moins 20 minutes par jour ;
  • maintenir une température dans la chambre de 19 degrés maximum ;
  • dépoussiérer les meubles régulièrement avec un chiffon humide et non un plumeau ;passer l’aspirateur deux à trois fois par semaine ;
  • réduire les « nids à poussière »: peluches, rideaux épais, meubles rembourrés, livres (si les bibliothèques sont ouvertes) et d’enlever, si possible, la moquette et les tapis ;
  • nettoyer son linge de lit à 60°C, température à laquelle les acariens ne survivent pas.

Il est également possible d’envelopper son matelas d’une housse anti-acariens. Ces housses (lavables à 60°C) sont imperméables aux acariens et à leurs particules de selles.

3 conseils gagnants pour combattre la fatigue en hiver

Fatigue au réveil, baisse d’envie en journée, envie de compenser par la nourriture… et tout ça pendant l’hiver ? Votre organisme souffre peut-être de la fatigue hivernale. Heureusement, quelques bonnes habitudes peuvent vous permettre de vite retrouver du tonus ! ToutRoule vous dit tout !

Pour combattre la fatigue, notamment au milieu de l’hiver, l’hygiène de vie est primordiale. Elle repose sur 3 piliers :

  • un sommeil réparateur ;
  • une alimentation équilibrée ;
  • la pratique régulière d’une activité physique.

1°) Un sommeil réparateur

Pour affronter le froid, la grisaille et les journées qui raccourcissent, nous avons tous besoin de plus de repos. Mais pour avoir un sommeil récupérateur, il est important d’avoir des horaires réguliers de coucher et de lever.

Même le week-end, limitez la grasse matinée ! Les heures de lever et de coucher ne doivent pas varier de plus d’une heure par rapport à celles de la semaine, au risque de dérégler l’horloge biologique et d’en subir les conséquences les jours suivants.

Évitez également les repas trop copieux et les sources de lumière (télévision, ordinateurs, tablettes, etc.) avant le coucher car ils rendent plus difficiles l’endormissement.

2°) Une alimentation équilibrée

Pendant cette période, consommez :

🥦 des aliments riches en sels minéraux et vitamines comme les végétaux verts ;

🍋 des fruits riches en vitamines C comme (le citron, l’orange ou le kiwi) ;

🌰 de bonnes graisses qui se trouvent par exemple dans les oléagineux comme les noix ou les amandes (toujours en petite quantité car ils sont assez caloriques) ;

🍜 des soupes de légumes, idéales pour se réchauffer et consommer des légumes sous une autre forme.

Pendant l’hiver, il ne faut pas oublier de s’hydrater car si le corps manque d’eau il se fatigue. Il est également recommandé de réduire s consommation de café à un par jour. En effet, le café déshydrate et empêche de bien dormir. Pour en savoir plus.

3°) La pratique régulière d’une activité physique

L’activité physique réduit la fréquence et la gravité des infections respiratoires de l’hiver.

Le sport permet de retrouver du tonus, de bénéficier d’un sommeil de meilleure qualité mais aussi, d’évacuer le stress et d’apprendre à le canaliser. Pour profiter des bienfaits du sport, il est recommandé de faire 30 minutes d’activité modérée chaque jour, ou deux séances par semaine d’activité modérée à intense, d’une durée totale de 2 à 2h30.

Si vous n’avez pas toujours le temps, une marche de trente minutes par jour peut suffire ou vous pouvez aussi danser ou monter et descendre les escaliers…

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Les bons gestes pour réduire le risque routier au réveillon

À l’occasion des fêtes de fin d’année, il est important de conduire dans les meilleures conditions. ToutRoule fait le point sur les risques routier et les bonnes pratiques pour que tout roule sur la route !

Quand nous pensons fêtes de fin d’année et conduite, le premier risque qui nous vient est celui de l’alcool au volant. Près de 30% des accidents mortels sont dus à une prise excessive d’alcool*.

1 – L’alcool au volant peut provoquer :

  • une mauvaise coordination des gestes ;
  • un allongement du temps de réaction ;
  • le trouble de la vision.

Il favorise également la somnolence.

Il est recommandé de :

  • privilégier les soirées sans retour en voiture ;
  • désigner un accompagnant SAM (personne nommée « capitaine de soirée », qui ne boira pas et conduira la voiture pour vous raccompagner) ;
  • dormir sur place.

Vous souhaitez prendre le volant ? Pensez toujours à avoir dans votre boîte à gant un éthylotest pour pouvoir vous tester avant de conduire. Si vous dépassez le taux d’alcool limite autorisé (0,5 g d’alcool par litre de sang soit 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré**), pas de doute : faites-vous raccompagner.

2 – La conduite de nuit

Représentant moins de 10 % des kilomètres parcourus, la nuit est pourtant impliquée dans près de la moitié des décès sur la route**.

Une fois la nuit tombée, l’insécurité routière est plus élevée, notamment en raison du manque de visibilité.

Retrouvez nos 9 conseils pour conduire la nuit en cliquant ICI.

3 – Les conditions météorologiques

Lorsque les routes sont enneigées, les conditions de circulation sont évidemment plus difficiles. Si vous devez prendre votre véhicule, pensez à :

  • remplir le réservoir du liquide lave-glace avec un produit antigel (réduire les risques en cas de verglas) ;
  • vérifier les pneus, mais aussi le bon fonctionnement de la batterie et des systèmes d’allumage, d’alimentation, de dégivrage et de chauffage ;
  • avoir des équipements adaptés : chaînes ou pneus spéciaux.

Sur la route, réduisez votre vitesse et respectez les distances de sécurité.

En cas de chute de neige, les feux de brouillard avant peuvent remplacer ou compléter les feux de croisement et les feux de brouillard arrière peuvent également être utilisés en cas de forte chute de neige.

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* Source : securite-routiere.gouv.fr

** À noter : le taux limite est de 0,2 g par litre de sang pour les conducteurs titulaires d’un permis probatoire et en situation d’apprentissage.

*** Source : lelynx.fr

Chutes : les bons réflexes pour les éviter

Que ce soit de plain-pied ou de hauteur, les chutes touchent tous les domaines et constituent 20 % des accidents du travail*. L’objectif est de les repérer et de mettre en œuvre des mesures pour prévenir toutes les conséquences causées par ces chutes afin de rester sur ses deux pieds.

Chute de plain-pied, chute de hauteur : quelle différence ?

La chute de plain-pied correspond à une chute de sa propre hauteur contrairement à la chute de hauteur qui est défini par une chute liée à une élévation (ex :une marche, une bordure, etc.)

Comment prévenir le risque de chute ?

De nombreuses situations sont la cause des chutes en entreprise :

  • déversement de produit ;
  • trou dans la chaussée ;
  • mauvais revêtement de sol ;
  • escalier mal balisé ;
  • inattention des différentes personnes ;
  • encombrement des sols ;
  • mauvais éclairage.

Il est recommandé de commencer par un diagnostic en effectuant une évaluation des risques, en se basant sur les principes généraux de prévention et d’adopter de bons réflexes afin de se protéger :

  • mettre un tapis absorbant lorsqu’on observe un liquide au sol ;
  • utiliser un garde-corps si on observe un trou ou une altération du sol ;
  • baliser si on observe une altération du sol ;
  • rester vigilant face à son environnement ;
  • ne pas se déplacer en regardant son téléphone ;
  • ne pas marcher en arrière ;
  • éviter de parler en regardant son interlocuteur lorsqu’on se déplace.

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* Source : Assurance maladie risques professionnels.

Le papillomavirus : pourquoi faut-il s’en protéger ?

Les papillomavirus humains (HPV) sont transmis au cours des relations sexuelles. La majorité des hommes et des femmes sont infectés par des papillomavirus au cours de leur vie et l’infection passe le plus souvent inaperçue. ToutRoule fait le point pour s’en protéger.

L’infection par le papillomavirus humain (HPV) est provoquée par un virus qui entraîne en général des verrues génitales et cutanées, mais qui peuvent évoluer en cancer.

Le papillomavirus chez les femmes

Elles présentent le plus grand risque, car le HPV, chez elles, peut provoquer un cancer du col de l’utérus s’il n’est pas traité. Des formes bénignes de HPV peuvent également provoquer des verrues génitales chez les femmes.

Le papillomavirus chez les hommes

Il est moins dangereux chez les hommes, car les verrues génitales qu’il occasionne se résorbent en général d’elles-mêmes. Néanmoins, certaines souches de HPV peuvent évoluer en cancer du pénis, de l’anus, de la tête et du cou, mais les cas sont assez rares.

La plupart des infections par les papillomavirus ne donnent aucune lésion :

  • dans 90 % des cas, l’infection est transitoire et s’élimine naturellement en une à deux années après la contamination sexuelle ;
  • dans 10 % des cas, l’infection persiste et peut entraîner des anomalies (lésions) au niveau de la muqueuse du col de l’utérus. Ces lésions peuvent évoluer vers un cancer 10 à 15 ans après l’infection par le virus.

La vaccination contre les infections à papillomavirus humains (HPV) a pour objectif de réduire la survenue de lésions précancéreuses génitales de la femme (mais aussi indirectement de l’homme), et à terme des cancers du col de l’utérus, de la vulve et du vagin chez la femme et des cancers du pénis et de l’anus chez l’homme.

La vaccination HPV ne fait pas partie des 11 vaccinations obligatoires mais est fortement recommandée pour :

  • toutes les jeunes filles et tous les garçons âgés de 11 à 14 ans révolus (le vaccin est d’autant plus efficace que les jeunes filles et les jeunes garçons n’ont pas encore été exposés au risque d’infection par le HPV) ;
  • les personnes de 15 à 19 ans révolus non encore vaccinées ;
  • les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), jusqu’à l’âge de 26 ans révolus, en prévention des lésions précancéreuses anales, des cancers anaux et des condylomes (petites verrues).

Le saviez-vous ?

Depuis la rentrée scolaire 2024, les collégiens de 5e peuvent se faire vacciner gratuitement pour assurer une meilleure protection contre les cancers liés aux papillomavirus humains (HPV).

L’objectif de cette campagne annuelle est d’augmenter la couverture vaccinale et de prévenir contre l’infection, responsable chaque année de 6 000 nouveaux cas de cancers et de 30 000 lésions précancéreuses du col de l’utérus*.

* Source : service-public.fr.

Être référent handicap : pourquoi pas vous ?

Le référent handicap en entreprise est une personne ressource dans la mise en œuvre, la coordination et le suivi de la politique handicap. Le référent handicap est-il obligatoire dans toutes les entreprises ? En quoi consiste concrètement son rôle ? ToutRoule vous dit tout.

Le référent handicap a pour mission d’accompagner les salariés en situation de handicap, pour faciliter leur intégration et leur maintien dans l’emploi. Il peut aider à la mise en œuvre de solutions adaptées (aménagement du poste de travail, aide au financement de matériel spécifique, etc.), aux démarches de demande de RQTH*, ou aux besoins de formation.

Seules les entreprises de plus de 250 salariés ont l’obligation d’avoir un référent handicap. Toutefois, tout salarié peut se porter volontaire pour le devenir, dans les grandes comme dans les petites structures !

La formation du référent handicap n’est pas obligatoire. Il est cependant indispensable qu’il se forme pour acquérir les fondamentaux sur ce sujet, ainsi que les compétences transversales qui peuvent se révéler nécessaires dans l’exercice de cette fonction (prise de parole en public, gestion de projet, etc.).

L’Agefiph** qui a pour but d’agir au plus près du terrain, est un lieu ressource pour les référents handicap :

La délégation régionale de l’Agefiph propose des modules de professionnalisation via le programme « Modul’Pro », dont certains sont spécifiques aux référents handicap.

L’Agefiph pilote et anime le Réseau des référents handicap (RRH14) pour les soutenir dans leurs missions et encourager le partage d’expériences.

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* Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé.

** Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées.

Comment prévenir l’intoxication au monoxyde de carbone ?

L’intoxication au monoxyde de carbone représente la première cause de décès accidentel toxique en hiver en France. Elle constitue un danger important aussi bien au travail qu’à la maison. ToutRoule fait le point pour adopter les bons réflexes pour réduire les risques.

Qu’est-ce que le monoxyde de carbone (CO) ?

C’est un gaz asphyxiant, non irritant, inodore et incolore qui se diffuse rapidement dans l’air. Il provient notamment des appareils de chauffage qui fonctionnent au gaz, à l’essence ou encore au fioul.

L’intoxication au monoxyde de carbone engendre des maux de tête, nausées et vertiges.

Voici quelques réflexes de prévention à adopter :

  • avant chaque hiver, faire systématiquement vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude et les conduits de fumée par un professionnel qualifié ;
  • tous les jours, aérer au moins dix minutes, pour maintenir les systèmes de ventilation en bon état de fonctionnement, et ne jamais boucher les entrées et sorties d’air ;
  • respecter les consignes d’utilisation des appareils à combustion : ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu ;
  • placer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments ;
  • ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero, barbecue, etc.

Bon à savoir :

Si vous êtes équipé d’une chaudière, lors de l’entretien annuel, le professionnel qualifié qui intervient est tenu de mesurer le monoxyde de carbone pour s’assurer que votre installation n’émet pas de monoxyde de carbone.

Si vous souhaitez équiper votre logement d’un détecteur de monoxyde de carbone, assurez-vous au préalable que le détecteur que vous avez choisi soit déclaré par le fabricant conforme à la norme européenne NF EN 50291 (cette mention doit figurer sur l’emballage du produit).

Batteries Lithium : connaître les risques pour travailler en sécurité

Les véhicules et engins électriques ou hybrides (voitures, chariots mais aussi trottinettes, vélos, etc.) utilisent très majoritairement des batteries au lithium. Le stockage et l’utilisation de ces batteries peuvent exposer à des risques. ToutRoule vous éclaire sur les bons réflexes à avoir pour travailler en sécurité.

Les risques liés aux batteries Lithium

La manipulation de batteries Lithium expose les salariés à des risques électriques (électrisation voire électrocution ; arc flash*) et à des risques de troubles musculo-squelettiques (en cas de manipulation de batteries lourdes, par exemple celles des véhicules électriques).

D’autres risques peuvent apparaître en cas de dysfonctionnement ayant pour origine un défaut du fabricant, un choc, ou encore une utilisation non conforme (rechargement avec un chargeur non adapté, par exemple). Ces dysfonctionnements peuvent conduire à un dégagement de liquide ou gaz dangereux (risque chimique) et à un risque d’incendie et d’explosion en cas d’emballement thermique (réaction chimique incontrôlée).

Les bonnes pratiques :

  1. Vérifier l’état de la batterie avant toute manipulation : si la batterie est endommagée (déformée, gonflée, percée, etc.), elle doit être mise à l’écart et manipulée et stockée selon des règles particulières en attendant son enlèvement par une entreprise spécialisée ;
  2. Manipuler la batterie avec précautions, en évitant les chocs et en utilisant des moyens de manutention adaptés si nécessaire ;
  3. Réaliser uniquement les interventions pour lesquelles l’on est formé (et habilité, le cas échéant) en respectant les consignes de sécurité liées à ces interventions (travail hors tension, port des EPI, respect des distances de sécurité, etc.)
  4. Utiliser des chargeurs adaptés pour mettre en charge la batterie ;
  5. Respecter les règles de stockage préconisées par le constructeur. Le stockagedes batteries au lithium doit être réalisé dans des enceintes ventilées, résistantes au feu et à l’écart des matériaux combustibles. Les batteries doivent être séparées les unes des autres afin d’éviter les courts-circuits.

Si la batterie est endommagée, il convient de :

– la stocker à l’écart des autres batteries dans un espace ventilé et en la plaçant dans un récipient incombustible, en veillant à la manipuler avec précaution et avec les EPI adaptés,

– surveiller sa température en attendant de la faire évacuer par une entreprise spécialisée.

Décès d’un proche : que dois-je faire ?

La perte d’un proche (un conjoint, un enfant, un collègue) est un moment particulièrement difficile. Dès le décès, un certain nombre de formalités doivent être accomplies. Des aides et accompagnements existent pour vous aider.

Dans les 6 jours du décès, contactez (en fonction de la situation du défunt) :

  • la CARSAT (Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail) et les Caisses de retraite complémentaire pour demander la pension de réversion ou l’allocation veuvage ;
  • l’employeur ou Pôle Emploi afin de régulariser le contrat de travail, récupérer des documents (solde de tout compte, fiche de paie, etc.) ;
  • l’établissement scolaire ;
  • les mutuelles et organismes complémentaires pour étudier les droits et aides ;
  • les banques et établissements de crédit afin d’arrêter les prélèvements et les virements et mettre en conformité les comptes.

Dans le mois du décès de votre proche, contactez (en fonction de la situation du défunt) :

  • la CAF (Caisse d’Allocation Familiale) pour réviser l’ensemble des droits ;
  • l’Assurance Maladie afin de mettre à jour le dossier, étudier les droits ;
  • le bailleur pour modifier ou résilier le contrat de location ;
  • les services postaux en vue de mettre à jour le dossier et faire suivre le courrier ;
  • les compagnies d’assurance, assurance Vie, prévoyance, etc. pour obtenir le paiement des prestations et modifier les contrats ;
  • les abonnements (électricité, gaz, eau, téléphone, internet, etc.) afin de modifier ou résilier le contrat.

Il vous faudra ensuite vous rapprocher des impôts et si besoin contacter le notaire pour ouvrir la succession.

Les démarches peuvent être lourdes et compliquées, vous pouvez obtenir des conseils et un accompagnement à travers :

  • IRP AUTO Solidarité-Prévention si vous êtes un salarié ou une entreprise des services de l’automobile ;
  • le service social de l’Assurance Maladie ;
  • le service social de la CAF (si vous avez un enfant à charge de moins de 21 ans) ;
  • le conseil départemental de l’accès au droit pour obtenir toutes les informations juridiques liées aux décès ;
  • CILEO en cas de difficultés relatives au logement suite au décès ;
  • La Fédération Européenne Vivre Son Deuil (FEVSD).

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ce sujet. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

Situation d’addiction : comment aider un proche ?

Que ce soit dans son entourage personnel ou professionnel aborder l’addiction n’est pas toujours facile. Comment faire pour parler de ce sujet et aider un proche ou un collègue dans cette situation ? Retrouvez nos conseils.

Fréquemment, une personne qui est dans une situation d’addiction ne va pas oser en parler. En effet, elle ne va pas aborder le sujet par peur du regard de l’autre que ce soit à la maison ou au travail et va ressentir une forme de honte. La personne en situation d’addiction peut donc se murer dans le silence mais il est essentiel de casser ce silence et de discuter pour ne pas qu’elle reste seule.

Comment faire pour en parler au travail ?

De manière générale, il est plus facile d’en parler dans l’entreprise car il y a moins d’affect.

Le levier du travail va nous aider car on va pouvoir aborder la question sous l’angle du dysfonctionnement sur le travail réalisé car on va voir qu’il est moins bien fait. Quand le manager aborde la question il faut que les faits dont il parle soient objectifs et non contestable.

Quand le manager aborde la question, il le fait sous l’angle du dysfonctionnement sur le travail réalisé en s’appuyant sur des faits dont il parle objectifs et non contestable qui montrent que le travail est moins bien fait qu’avant.

Il y a aussi des signes qui peuvent permettre de voir un dysfonctionnement. Par exemple si une personne qui était toujours à l’heure commence à arriver de plus en plus souvent en retard avec des excuses de moins en moins logique (ex : j’ai eu un problème de bus alors que l’on prend la même ligne à la même heure et qu’il n’y a pas eu de souci de transport ce jour-là) et a un comportement de plus en plus inhabituel.

IRP AUTO Solidarité-Prévention a mis en place des interventions et des supports afin de sensibiliser les salariés et d’accompagner les managers dans l’identification des comportements à risque et réagir en situation d’urgence. Connectez-vous à votre compte pour en savoir plus.

Comment faire pour en parler à la maison ?

C’est un sujet assez compliqué d’aborder dans la sphère privée, car il y a un phénomène de co-dépendance. En effet, le conjoint est forcément impacté par la situation et la dimension d’affecte est grande. Il faut donc communiquer et imposer sa propre limite afin de mettre un cadre à la discussion mettant en avant les bonnes questions à se poser.

Il est important de ne pas rester dans le silence et d’en parler. Souvent la personne en situation d’addiction peut être dans le déni. Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide notamment avec des sites/plateformes comme par exemple :

Addict’Aide : ce site accompagne les consommateurs ou les proches. On y retrouve des informations sur tous les produits (forme d’addictions), où trouver de l’aide, à qui s’adresser et un forum est à disposition où des patients experts* répondent.

Plus d’informations ici

Addictions et Alcool : Ensemble on est plus forts : il s’agit d’un groupe Facebook pour les personnes en situation d’addiction mais aussi leur proche avec des outils pour aider, informer, ou amener à réfléchir.

Plus d’informations ici

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* Fort de son expérience propre sur la maladie, il représente une ressource capitale, à la fois pour les équipes médicales, mais aussi pour les autres patients.

Peinture à l’eau : restons vigilant…

Aujourd’hui, l’utilisation de peinture à l’eau en carrosserie a pris le pas sur celle de la peinture à solvant. Contenant entre 60 et 80 % d’eau, les peintures à l’eau, du fait de leur nom, ont tendance à nous faire oublier qu’elles contiennent d’autres produits qui ne sont pas sans risque pour la santé…

Les peintures à l’eau (ou hydrosolubles), actuellement couramment utilisées en carrosserie, sont composées, en plus de l’eau de :

  • liants, résines permettant l’adhérence de la peinture à l’objet à peindre ;
  • pigments, pour l’opacité et la couleur, tels que le dioxyde de titane ;
  • charges, qui baissent le prix de la peinture, tels que le talc ou le kaolin ;
  • solvants, cosolvants ou agents de coalescence tels que les hydrocarbures ou les éthers de glycol ;
  • amine de neutralisation ;
  • additifs, dont les agents de neutralisation qui stabilisent les peintures.

Malgré la suppression de plusieurs composants toxiques dans leurs formules (qui a considérablement réduit le risque chimique), la présence de liants, de solvants et d’additifs, même en faible quantité, présente un risque accru d’allergie.

La pénétration des produits nocifs dans l’organisme se fait principalement par inhalation, par voie cutanée ou par ingestion. Il est donc toujours important de se protéger lors de la manipulation de ces produits, surtout lors des activités de préparation, mélange et pulvérisation de peinture.

Voici des conseils pour rester protégé :

  • utilisez si possible des produits ne contenant pas d’isocyanate (vérifiez la fiche de données de sécurité) ;
  • captez les polluants à la source ;
  • portez des vêtements de travail couvrant tout votre corps ;
  • utilisez des équipements de protection individuelle (EPI) : gants nitrile jetables, visières de protection, masques A2B2P3.

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Comment se préparer au changement d’heure

Mis en place pour limiter l’utilisation de l’éclairage artificiel, le changement d’heure a des impacts non négligeables sur notre rythme biologique et réduit notamment la durée de notre sommeil. Retrouvez nos conseils pour vous préparer au mieux à ce changement.

Pour aider l’organisme à s’habituer au changement d’heure, il est conseillé, deux ou trois jours avant :

  • de dîner au moins deux heures avant le coucher, pour faciliter l’endormissement ;
  • de se coucher un peu plus tôt (au moins dix minutes avant l’heure habituelle) ;
  • de se lever progressivement plus tôt (dix à vingt minutes avant l’heure habituelle) ;
  • si cela est possible, de modifier son rythme de travail en allant travailler plus tôt pour finir plus tôt et profiter de la lumière jusqu’à la fin de la journée, par exemple.

La veille du changement d’heure, pensez à :

  • régler l’heure de toutes vos montres, horloges et réveils afin de limiter le stress dû à la peur de ne pas se réveiller ;
  • éviter les excitants après 16 heures (café, nicotine, alcool, etc.) et prendre un repas léger toujours deux heures avant de se coucher.

Se préparer au changement d’heure permet de faire une transition et d’éviter qu’un manque de repos impacte aussi bien notre attention, que notre nervosité ou occasionne de la somnolence.

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