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Prêt à relever le défi du dry january ?

La diète après les fêtes fait souvent partie des bonnes résolutions. Pourquoi alors ne pas tenter le Dry January (« janvier sobre ») ? Il met au défi les volontaires de ne pas boire d’alcool pendant tout le mois de janvier.

Le Dry January est un concept imaginé par une association britannique afin d’encourager les participants à faire un point sur leur relation avec l’alcool et à mieux contrôler leur consommation. L’année dernière, au Royaume-Uni, plus de 5 millions de personnes y ont participé.

DES BIENFAITS IMMÉDIATS SUR LA SANTÉ

Dès les premiers jours, les participants observent une meilleure qualité de sommeil, une perte de poids, une hausse d’énergie, une meilleure concentration et une amélioration de la qualité de leur peau.

Même les personnes qui n’ont pas pu parvenir à une abstinence complète, mais qui ont réduit leur consommation, ont ressenti des effets bénéfiques sur leur santé.

Une étude de l’université du Sussex (groupe d’étude suivi pendant six mois, jusqu’en août 2018) démontre également que « le simple fait de passer un mois sans alcool aiderait les gens à moins boire sur le long terme ». Au mois d’août, les participants ont ainsi rapporté boire 3,3 jours par semaine, contre 4,3 l’année d’avant.

Enfin, le Dry January permet de réaliser une économie d’argent non négligeable.

ÊTES-VOUS PRÊT À RELEVER LE DÉFI ?*

Parlez-en autour de vous.

À plusieurs, c’est plus facile, et vous pourrez échanger des astuces et recettes de boissons sans alcool.

* Pour les personnes habituées à une forte consommation ou avec un risque de dépendance, il est recommandé de consulter un médecin.

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ce sujet. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

Panne de voiture : comment réagir ?

Pneu crevé, panne d’essence, batterie déchargée, fumée suspecte, etc. Savoir réagir en cas de panne est primordial pour se mettre en sécurité, assurer celle de vos passagers et des autres usagers. Voici quelques conseils pour éviter la panique et avoir les bons réflexes en cas de panne de voiture.

Les indispensables en voiture

Pour rouler l’esprit tranquille, il y a des outils indispensables à avoir toujours dans sa voiture :

  • un triangle de signalisation et un gilet réfléchissant ;
  • un cric et une manivelle en cas de crevaison ;
  • une roue de secours en bon état (ou à défaut galette ou bombe anti-crevaison + compresseur) ;
  • des pinces de batterie ;
  • une lampe torche si vous tombez en panne la nuit ;
  • des ampoules de rechange.

En cas de panne, voici quelques règles à respecter, pour votre propre sécurité et celle des autres automobilistes :

  • dès que votre voiture présente des anomalies ou problèmes d’ordre mécaniques, garez-vous sur le côté de la route. Au besoin, demandez l’aide d’autres personnes afin de manœuvrer correctement ou afin de pousser votre véhicule à un endroit sûr. Si vous êtes sur autoroute, dirigez-vous au plus vite sur la bande d’urgence ;
  • signalez votre présence en actionnant vos feux de détresse (ou warning) ;
  • mettez votre gilet de sécurité réfléchissant ;
  • placez un triangle de signalisation :
    • à +/- 30 mètres derrière votre véhicule si la panne de voiture survient sur route normale
    • à +/- 100 mètres derrière votre véhicule si la panne survient sur autoroute
  • appelez les urgences (si vous avez souscrit à une assistance, prenez contact avec eux). Signalez-leur aussi précisément que possible l’endroit où vous vous trouvez (pays, commune, rue, numéro, autoroute, borne kilométrique ou tout autre élément permettant de vous retrouver facilement), la nature de votre problème (type de panne ou d’accident, nombre de véhicule impliqués, nombres de passagers) et s’il y a des blessés. Suivez leurs instructions et attendez l’arrivée des secours.

Que faire en cas de panne de voiture sur autoroute ?

  • quittez votre véhicule et réfugiez-vous derrière le rail de sécurité (tous les occupants du véhicule doivent quitter le véhicule, par mesure de sécurité) ;
  • n’essayez pas d’arrêter d’autres véhicules ;
  • ne tentez pas de réparation (danger d’être heurté par d’autres véhicules roulant à vive allure) ;
  • ne tentez jamais de traverser l’autoroute.
  • composez le 112 pour les urgences. Si vous n’avez pas de téléphone portable, rendez-vous à la borne d’appel d’urgence la plus proche (en marchant toujours derrière le rail de sécurité).

Comment bien mettre sa ceinture de sécurité ?

Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire et indispensable car il protège le conducteur et les passagers en cas de collision. Alors comment bien la positionner ?

LES BONNES PRATIQUES EN IMAGE :

Le saviez-vous ?

  • dès 20 km/h, un choc subi sans ceinture peut être mortel ;
  • le poids d’un corps humain peut être multiplié par 10 en cas de projection dans un accident.

+ Information réglementation :

En cas de contrôle de police, le défaut de port de la ceinture de sécurité expose le conducteur à payer une amende de 135 € et à un retrait de 3 points sur son permis de conduire. Il doit également s’assurer que les passagers mineurs qu’il transporte portent leur ceinture sous peine de sanction.

+ Bon à savoir :

Si vous êtes arrêté en train de conduire en doudoune, vous risquez une amende de 135 euros et le retrait de points de votre permis de conduire

Protéger sa vue du soleil

Tout comme la peau, les yeux ont besoin d’être protégés lorsque les rayons UV sont importants. Comment protéger ses yeux pour profiter des beaux jours en toute sécurité ?

Le danger du soleil pour notre corps est provoqué par les rayonnements ultraviolets (UV) qui émanent de celui-ci.

Ces deux types d’UV sont invisibles pour l’homme et parviennent aux yeux de trois manières :

  • de façon directe : l’intensité de la lumière varie selon la saison, le lieu géographique et l’altitude ;
  • par diffusion : l’intensité de la lumière dépend notamment de la présence de nuages ou non ;
  • par réflexion : l’intensité des rayons UV est augmentée par la réverbération au sol (ex. l’herbe, l’eau, la neige, le sable, etc.).

Le meilleur équipement de protection contre les rayons UV reste les lunettes de soleil.

Il est important de bien les choisir, avec des verres filtrant les UVA et les UVB.

De plus, les lunettes de soleil doivent porter le sigle CE et la catégorie de protection (de 1 à 4). Plus la catégorie est élevée, plus les verres filtreront la luminosité solaire.

Bon à savoir :

La catégorie 3 est conseillée pour la plupart des situations d’ensoleillement.

Les yeux des enfants sont plus sensibles encore aux rayons du soleil. Protégez-les avec un chapeau ou une casquette, ou avec des lunettes adaptées à la forme de leur visage, qui resteront bien en place.

Lors d’activités physiques et sportives, n’oubliez pas également de protéger vos yeux avec :

  • une visière
  • des lunettes de natation, ou des lunettes de protection pour le vélo ou la moto.

Elles agissent contre le soleil, bien sûr, mais aussi contre le vent, les poussières et les brindilles.

Travail sous fortes chaleurs en atelier : nos conseils

Les activités au sein des ateliers peuvent être soumises à des variations de température importantes tout au long de l’année. Pour prévenir les éventuels coups de chaleur et la déshydratation, il est important d’adopter les bons réflexes.

En cas de forte chaleur, quelques principes essentiels doivent être suivis :

1°) Prendre de bonnes habitudes :

boire de l’eau régulièrement, sans attendre la sensation de soif, qui est un signe de déshydratation (un verre d’eau toutes les 15 ou 20 minutes) ;

  • prendre des repas adaptés à la situation de travail, et éviter les repas trop gras et trop copieux ;
  • limiter les sorties et l’exposition au soleil, notamment aux heures les plus chaudes ;
  • privilégier les activités en zone ombragée et faire des pauses régulièrement ;
  • éviter les efforts importants et privilégier l’utilisation des aides mécaniques à la manutention (chariot, diable, etc.).

2°) Comment réagir ?

En cas de fortes chaleurs, il est possible d’être victime de déshydratation et de coup de chaleur. Les signaux tels que la fièvre, le pouls qui s’accélère et la respiration rapide, les maux de tête, etc. ne doivent pas être pris à la légère, que ce soit au travail ou à la maison.

Que faire si une personne souffre d’un coup de chaleur ? Alerter les secours en contactant le 15 (SAMU) ou le numéro d’appel européen des services de secours : 112.

Que faire en attendant les secours ?

  • boire de l’eau ;
  • se mouiller la tête ;
  • se mettre à l’ombre ou dans une pièce fraîche.

Zoom sur un outil : le démonte-pneu semi-automatique

L’utilisation du démonte-pneu semi-automatique est efficace dans la réalisation de son activité mais permet également de prendre soin de son corps. Faisons le point sur les atouts de cet outil.

L’élévateur peut également être mobile : il s’agit d’un lève-roue mobile électrique.

Le démonte-pneu semi-automatique permet :

  • de diminuer les postures contraignantes durant le montage et le démontage de pneumatiques, ainsi que les efforts associés ;
  • pour son usage, le salarié doit manipuler une pédale qui permet le positionnement du pneu à hauteur et le desserrage de la jante du pneu. Ainsi, la rotation de la table tournante déchausse le talon supérieur et inférieur du pneu sans solliciter d’effort de la part du salarié.

Le démonte-pneu semi-automatique est équipé de deux options :

1) un bras d’assistance complémentaire intégré, appelé 3e bras ;

2) un élévateur latéral électrique ou pneumatique, appelé élévateur fixe, et intégré directement au bâti de l’équipement.

Le risque d’hydrocution

Le refroidissement brutal appelé choc thermique ou hydrocution est un phénomène qui entraîne une syncope avec ou sans perte de connaissance voire un arrêt cardiaque. Retrouvez nos conseils pour l’éviter et avoir les clés pour bien réagir.

L’hydrocution est un accident fréquent qui survient l’été et qui est causé par une entrée trop rapide dans l’eau froide, et par une trop grande différence de température entre le corps et l’eau.

Tout le monde peut être victime d’une hydrocution, néanmoins les personnes les plus fragiles sont plus à risque et doivent être davantage surveillées c’est le cas notamment : des enfants, des personnes âgées et des personnes atteintes de maladie cardiaque.

Voici nos conseils pour éviter l’hydrocution :

  • éviter les expositions au soleil trop prolongées et aux heures les plus chaudes (entre 12 h et 16 h) ;
  • entrer de manière progressive dans l’eau tout en mouillant la nuque, la tête, les bras puis le torse. ;
  • si possible, prendre une douche pas trop froide avant d’entrer dans l’eau ;
  • éviter de vous baigner dans une eau trop froide (inférieur à 18 degrés pour les adultes et inférieur à 20 degrés pour les enfants);
  • après le repas, attendre 1 h 30 à 2 h avant de vous baigner ;
  • ne pas se baigner :
    • si vous avez bu de l’alcool en excès ou avez mangé un repas trop copieux ;
    • dans des zones non surveillés si vous êtes seul ;
  • dans les piscines, entrer dans l’eau à l’aide d’une échelle plutôt que de sauter ou plonger.

Les symptômes d’une hydrocution sont : des démangeaisons, des frissons, des crampes, des troubles auditifs ou visuels, des maux de têtes qui apparaissent brutalement, un état de fatigue soudain ou une pâleur sur le visage.

Comment réagir en cas d’hydrocution ?

Pour venir en aide à une personne frappée d’hydrocution, il faut bien entendu la ramener aussitôt sur la terre ferme et alerter les secours : les maîtres-nageurs sauveteurs, le 112, le Samu (15) ou les pompiers 18.

Prévenir les chutes d’objets

La chute d’objets peut engendrer un risque de blessure et de dommages corporels (lumbagos, entorse, etc.). Elle peut provenir : du stockage, d’un étage supérieur ou même de l’effondrement de matériaux. Il est donc nécessaire de prévenir ce risque, notamment en aménageant les postes de travail.

Voici des moyens de prévention qui concernent :

Les locaux :

  • S’assurer que les allées de circulations soient
    libres et banalisées

L’entretien :

  • Ne rien stocker sur les zones de passage

L’organisation :

  • Éviter le stockage de matériel lourd en hauteur ( (prendre en compte le poids des objets pour organiser le stockage : les plus lourds en bas et les plus légers en haut)
  • Limiter la hauteur des stockage comme indiqué dans le visuel ci-dessous :

Les moyens humains :

  • Porter ses Equipements de Protection
    Individuelle – EPI (chaussures de sécurité, lunettes de protection, etc.)

Bon à savoir : il est important de prendre en compte la fréquence d’utilisation d’un matériel stocké pour le ranger de manière accessible et pratique.

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Coup de soleil : le prévenir et réagir

La survenue d’un coup de soleil est une brûlure induite par les rayons ultraviolets (UV). La peau devient rouge, douloureuse, et quelques plaques peuvent apparaître. Retrouvez les bons réflexes à adopter pour éviter le coup de soleil et y réagir !

La gravité du coup de soleil varie en fonction du type de peau, de la durée et de l’intensité d’exposition ainsi que de sa localisation.

Il faut environ une semaine pour que survienne la cicatrisation avec une phase de desquamation (peau qui pèle).

Lorsque la blessure engendre des cloques et que de nombreux vaisseaux sanguins ont été détruits, la disparition est plus longue. Cela peut prendre entre deux semaines à un mois pouvant engendrer sur la peau des tâches ou cicatrices.

Comment éviter le coup de soleil ?

  • nourrir sa peau au quotidien, car une peau bien hydratée se défend mieux et bronze sans se dessécher ;
  • appliquer de la crème solaire en choisissant un indice adapté à son type de peau . Faire attention aux premières expositions : indice 30 ou 50 pour les peaux les plus fragiles et les enfants. Il faut continuer à mettre de la crème solaire même lorsque nous sommes bronzés car cela permet d’avoir un bronzage progressif et moins nocif pour la peau ;
  • mettre sa crème avant l’exposition et l’appliquer généreusement. Il faut renouveler l’application toutes les 2 heures et après les baignades ;
  • ne pas s’exposer entre 12 h et 16 h ;
  • limiter la durée de l’exposition ;
  • mettre en plus un t-shirt et un chapeau aux enfants et ne pas exposer les bébés ;

Que faire en cas de coup de soleil ?

En cas de brûlure simple, certains gestes apaisent la peau :

  • ne plus s’exposer, se mettre bien à l’ombre ;
  • boire en abondance afin de combattre la déshydratation ;
  • appliquer des crèmes apaisantes « après-solaire » ou des émulsions spécifiques pour les brûlures, (Cicalfate, Cicabio, Biafine ou encore un gel à l’aloe vera si vous n’avez pas d’allergie à ces produits) ;
  • en cas de cloques, il ne faut pas les percer mais les recouvrir d’un pansement stérile ; surveiller sa température ;
  • en cas de maux de tête ou fièvre, prendre un paracétamol.

Si le coup de soleil a provoqué des brûlures cutanées importantes il est nécessaire de consulter son médecin traitant qui pourra prescrire un traitement médical (pansement avec ou sans antibactérien, antalgiques, réhydratation, etc.).

L’hyperconnexion : comment limiter ce risque ?

Les Français passent en moyenne 4 h 49 leurs écrans et les cadres 7 h 13*. L’hyperconnexion a de nombreux effets négatifs : l’attention s’épuise, le stress se fait plus intense, le temps semble filer entre nos doigts collés aux écrans… ToutRoule vous partage ses conseils pour limiter le risque d’hyperconnexion.

L’hyperconnexion peut être définie par un trop plein d’informations, de sollicitations, d’interactions en lien avec les connexions numériques. À cela s’ajoute une très grande complexité et une inquiétude réelle à l’idée de se déconnecter.

L’hyperconnexion n’est pas pour autant encore reconnue de nos jours comme une addiction.

Elle ne concerne pas uniquement l’utilisation du smartphone, de la télévision ou de la tablette mais aussi les réseaux sociaux, la réalité virtuelle, l’e-shopping, les plateformes de musique et de vidéos en streaming, les email, les fils d’actualité, etc.

On parle d’hyperconnexion dès lors qu’il pas possible de s’empêcher de consulter son téléphone, smartphone ou son ordinateur pendant plus de dix minutes. Une dépendance alimentée par les nombreuses notifications reçues au cours de la journée pouvant générer un stress constant.

Les conséquences chez l’adulte

L’hyperconnexion perturbe notre état mental, agit sur notre capacité de concentration et notre niveau de stress. Mais pas seulement. La sédentarité induite par le travail sur écran expose à des douleurs articulaires et à un risque de prise de poids. Happés par nos écrans, nous rognons parfois sur les temps de préparation des repas au profit de plats préparés rapides à consommer et très caloriques. Enfin, une exposition prolongée trouble les cycles de sommeil et favorise l’isolement. Enfin, trop de temps passé sur écran génère également une fatigue oculaire qui peut donner lieu à des maux de tête et impacter la vision de près.

Les conséquences chez l’enfant

Une surexposition des enfants aux écrans peut provoquer un retard dans le développement du langage de l’enfant, si ce dernier a été exposé très tôt aux écrans. Un retard qui peut avoir un impact sur son apprentissage général à l’école. Autre conséquence d’une surconsommation d’écrans par les plus jeunes : un mal-être plus présent (anxiété, dépression, isolement, baisse de l’estime de soi, etc.). Enfin, sur le plan physique, l’addiction aux écrans favorise la prise de poids en raison d’un manque d’exercice et d’une tendance au grignotage plus importante.

Nos conseils pour déconnecter :

  • faire un point sur son temps passé : combien de temps vous ou vos enfants passez devant les écrans est une indication intéressante à prendre en compte. Pour les jeunes, il est conseillé de ne pas dépasser 2 heures d’écrans par jour ;
  • limiter les notifications : en désactivant les notifications des applications. Sans le petit indicatif sonore ou visuel des notifications, vous serez naturellement moins tenté de regarder l’écran toutes les 5 minutes ;
  • définir une heure de fin : il est conseillé d’éteindre tout écran bien avant le coucher (environ 2 heures) pour avoir un sommeil de meilleure qualité ;
  • sortir et se dépenser : pour se détacher de leur emprise et prévenir l’addiction, sortir et/ou faire de l’exercice physique peut permettre à son cerveau de se déconnecter des écrans et de s’aérer l’esprit.

Comment se faire aider ?

Le médecin traitant tout d’abord, pourra éventuellement orienter vers un psychologue ou un psychiatre. Il est également possible de se rapprocher d’un Centre de soin, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) : composé d’équipes pluridisciplinaires, ces professionnels sont formés pour prendre en charge la personne souffrant d’addiction, mais aussi ses proches. Enfin, en milieu hospitalier, vous avez la possibilité de prendre rendez-vous au sein d’une unité d’addictologie.

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* Enquête sur l’hyperconnexion BVA pour la Fondation April

Zoom sur un outil : le marteau débosselage pneumatique

Le marteau de débosselage pneumatique est une technique efficace pour réparer les bosses sur les carrosseries sans endommager la peinture. Envie de limiter vos risques et de vous protéger en utilisant cet outil ? ToutRoule vous fournit toutes les clés.

Le marteau de débosselage pneumatique comprend un pistolet pneumatique, une ventouse et une baguette de différentes tailles pour s’adapter à n’importe quelle surface.

Les fabricants mettent tout en œuvre pour réduire les risques de vibrations, c’est pourquoi ils ont développé cet outil en réponse à la demande.

Lors de l’utilisation de l’outil, il est important de se protéger et de :

  • porter des gants ;
  • tenir l’outil avec la poignée sans effort excessif mais fermement (1kg) ;
  • utiliser des protections auditives (bruit du débossage pouvant aller à 100dB) ;
  • bien se positionner ;
  • maintenir la zone de circulation dégagée.

Cet outil fonctionne avec un effet ventouse, offrant une excellente force de traction, et l’alliage d’acier assure une durabilité à long terme. Il peut être utilisé aussi bien pour les voitures que pour les motos. Le manche et la poignée extra-longues offrent une excellente adhérence et assurent un transfert de puissance optimal. Le poids variant de 1 à 2 kg réduit le risque de maladies de type musculo-squelettiques.

Le débossage permet également aux professionnels de travailler avec un impact minimal sur leur santé, puisque cette méthode est efficace, rapide et économique. En effet, aucun produit dangereux ou irritant n’est utilisé dans ce procédé.

Ce procédé implique qu’aucun vernis ou peintures ne soient utilisées et permet également de gagner du temps sur les réparations. Le débosselage sans peinture est une technique qui demande méthode et précision. Les bosses et les impacts ne nécessitent pas de ponçage ou de peinture de la zone, ce qui entraîne une réduction des émissions de polluants.

Bien composer sa trousse de secours

À la maison, en entreprise ou en vacances, la trousse de secours est un élément indispensable pour prodiguer les premiers soins en cas d’accident ou de blessure (coupure, fracture, brûlure, etc.). Encore faut-il qu’elle contienne tous les éléments essentiels…

Avant de composer votre trousse de premiers secours vous devez penser au lieu de stockage. En effet, celui-ci doit être facilement et rapidement accessible, il faut donc éviter tout endroit pouvant être verrouillé.

Votre trousse de premiers secours peut contenir de nombreux accessoires, qui sont à définir selon les risques identifiés sur le lieu de travail, à la maison ou même en vacances :

Contre les plaies et les blessures :

  • sparadrap ou pansements pour les petites coupures ;
  • pansements pour brûlures (grandes compresses imprégnées de gel) ;
  • compresses stériles pour la désinfection des plaies et leur protection ;
  • antiseptique non coloré (Hexomedine, Chlorhexidine ou produit équivalent) pour la désinfection de plaies.

Contre les douleurs :

  • bande de gaze pour le maintien des compresses ou les entorses et en prévention des ampoules ;
  • paracétamol et aspirine contre les douleurs ou maux de tête (attention, à ne donner qu’après avis médical). Attention en entreprise, la présence de médicaments doit être autorisé par le médecin du travail.

Outils et accessoires :

  • gants à usage unique, gel hydroalcoolique et masque de protection, afin de prévenir tout risque de contamination ;
  • ciseaux et pince à épiler ;
  • couverture de survie.

Produits du quotidien :

  • savon (préférer un savon neutre, sans parfum ni colorant) ;
  • sucre (en prévention des malaises vagaux).

Lors d’un départ en voyage, pensez à adapter votre trousse de secours en fonction de votre destination et des activités prévues. Pour cela, pensez à demander conseil auprès de votre médecin ou de votre pharmacien.

BON À SAVOIR

Pensez à vérifier régulièrement la date de péremption des éléments de votre trousse. En effet, la plupart des éléments sont périssables, même les pansements ! En entreprise, la médecine du travail conseille sur le contenu de la trousse en fonction des risques et des antécédents de chaque travailleurs (allergie à certains médicament, etc.)

La bonne conduite en voiture pour les vacances

Vous attendiez ce moment avec impatience, ça y est les vacances approchent ! Avant le départ, il est important de bien préparer sa voiture, mais aussi de garder en tête des règles de bonne conduite, car en vacances j’oublie tout, mais… pas la sécurité !

Les vacances approchent, vous avez bien préparé votre voiture avant le départ et connaissez sur le bout des doigts notre article dédié sur le sujet : il ne vous reste plus qu’à garder en tête nos conseils pour une bonne conduite pour les vacances…

La veille du départ, faites une bonne nuit de sommeil (au moins 8 heures).

Pensez également aux bons réglages (siège, rétroviseurs et volant) pour éviter les mauvaises postures car bien s’installer au volant vous permet de limiter la fatigue.

Il est recommandé de s’arrêter au moins 15 minutes toutes les deux heures pour réduire la sensation de fatigue, et détendre son dos et ses jambes.

N’hésitez pas à faire une pause et à : bouger, marcher d’un bon pas, et faire quelques étirements avant de reprendre la route.

Si vous devez prendre le volant de nuit il est recommandé de :

  • nettoyer les vitres et phares avant et arrière du véhicule. Des trainées laissées sur les phares pourraient en effet réduire leur efficacité de l’ordre de 90 % dans certains cas ;
  • régler le rétroviseur intérieur en position de nuit de façon à réduire l’éblouissement des autres véhicules. De même, adapter l’éclairage de l’habitacle en diminuant l’intensité de la lumière ;
  • s’assurer que les feux arrière et phares avant du véhicule sont en bon état de fonctionnement*.

Pensez à être bien chaussé. La conduite en tongs n’est pas prohibée par le Code de la route, mais les tongs ne sont pas considérées comme des chaussures « réglementaires ».

Ne tenant pas la cheville, elles peuvent en effet être identifiées comme une source de gêne pour le conducteur (elles peuvent notamment se coincer dans les pédales et provoquer un accident) et donc constituer un motif de verbalisation : les forces de l’ordre peuvent dresser une amende forfaitaire de 35€ au conducteur.

Le passager a un rôle à tenir également en voiture. Il doit se montrer discret durant le trajet et jouer un rôle préventif en ce qui concerne les éventuels dangers pouvant surgir.

Certains passagers prennent l’habitude d’étendre leurs pieds sur le tableau de bord. Outre la sensation d’avoir des fourmis, cette posture n’apporte décidément rien de bon…

Si elle est autorisée (le Code de la route ne prévoit aucune disposition à ce sujet), cette position reste très dangereuse, notamment en cas de choc. Au déclenchement de l’airbag, les jambes peuvent en effet être projetées vers le pare-brise et les genoux vers le visage, provoquant de multiples traumatismes chez le passager (fractures, blessures à la cage thoracique, etc.).

Un coffre organisé c’est un espace réparti pour garantir la sécurité. Veillez donc à bien répartir vos bagages dans le coffre (les plus lourds au fond), en évitant de poser des objets sur la plage arrière : au premier gros freinage, ils pourraient se transformer en projectiles dangereux.

* Les feux de croisement doivent normalement éclairer la route sur une distance de 45 à 75 mètres et les feux de route une distance de 90 à 150 mètres. Il est donc indispensable d’avoir des phares bien réglés pour disposer d’un large éclairage.