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Mis en avant

Prêt à relever le défi du dry january ?

La diète après les fêtes fait souvent partie des bonnes résolutions. Pourquoi alors ne pas tenter le Dry January (« janvier sobre ») ? Il met au défi les volontaires de ne pas boire d’alcool pendant tout le mois de janvier.

Le Dry January est un concept imaginé par une association britannique afin d’encourager les participants à faire un point sur leur relation avec l’alcool et à mieux contrôler leur consommation. L’année dernière, au Royaume-Uni, plus de 5 millions de personnes y ont participé.

DES BIENFAITS IMMÉDIATS SUR LA SANTÉ

Dès les premiers jours, les participants observent une meilleure qualité de sommeil, une perte de poids, une hausse d’énergie, une meilleure concentration et une amélioration de la qualité de leur peau.

Même les personnes qui n’ont pas pu parvenir à une abstinence complète, mais qui ont réduit leur consommation, ont ressenti des effets bénéfiques sur leur santé.

Une étude de l’université du Sussex (groupe d’étude suivi pendant six mois, jusqu’en août 2018) démontre également que « le simple fait de passer un mois sans alcool aiderait les gens à moins boire sur le long terme ». Au mois d’août, les participants ont ainsi rapporté boire 3,3 jours par semaine, contre 4,3 l’année d’avant.

Enfin, le Dry January permet de réaliser une économie d’argent non négligeable.

ÊTES-VOUS PRÊT À RELEVER LE DÉFI ?*

Parlez-en autour de vous.

À plusieurs, c’est plus facile, et vous pourrez échanger des astuces et recettes de boissons sans alcool.

* Pour les personnes habituées à une forte consommation ou avec un risque de dépendance, il est recommandé de consulter un médecin.

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Le risque ATEX

Une atmosphère explosive (ATEX) se traduit par un mélange de substances combustibles dans l’air pouvant entraîner une explosion en présence d’une source d’inflammation. Ces substances peuvent se trouver sous forme de gaz, de vapeurs ou encore de poussières. 

Comment prévenir ce risque et s’en protéger ? 

Pour qu’une explosion se produise, 6 éléments doivent être présents au même moment :

  • une source d’inflammation ;
  • un domaine d’explosivité (la proportion combustible / comburant nécessaire à l’explosion) ;
  • un comburant ;
  • un confinement suffisant ;
  • des produits combustibles ;
  • des produits en suspension.


Une explosion se caractérise par une élévation brutale de la pression provoquant un effet de souffle accompagné de flammes. La zone de dommages peut s’étendre jusqu’à un volume 10 fois supérieur à celui de l’atmosphère explosive initiale. 

Les conséquences humaines (brûlures, lésions pulmonaires et auditives, blessures graves) et matérielles (bris de vitres, effondrement de structures, destruction d’équipements) peuvent être dramatiques.

Sur les 10 dernières années, on dénombre en moyenne 150 explosions par an ayant engendré un arrêt de travail. La gestion des risques ATEX ne s’improvise pas !


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Rester attentif à la routine pour éviter les risques

Rester vigilant malgré la routine, voilà un équilibre  souvent difficile à trouver. Environ 80% des erreurs professionnelles sont commises par des travailleurs expérimentés. 

Comment rester attentif et ne garder que le meilleur de la routine ?

Répéter les mêmes gestes facilite l’apprentissage et l’expertise, mais cela peut aussi réduire notre perception des risques puisque nous sommes moins vigilants. Cette baisse d’attention peut mener à des erreurs aux conséquences graves. Pour les éviter, suivez nos trois conseils: 

  • Prenez un instant pour observer votre environnement : Avant de commencer une tâche, imposez-vous un moment de vérification. Vous pouvez changer vos conditions de travail, même un changement minime peut faire la différence (outil déplacé, élément nouveau dans l’atelier). 
  • Ne faites qu’une seule chose à la fois ! Le cerveau ne peut pas gérer deux tâches complexes en simultané sans diminuer sa vigilance. Alors on évite le mode pilotage automatique en se concentrant sur une tâche à la fois ! 
  • Enfin, même si les gestes sont maîtrisés, les risques restent présents. Alors protégez-vous avec les bons équipements ! C’est essentiel pour prévenir les accidents liés aux automatismes.

Vous l’avez compris, un geste anodin peut vite devenir risqué si l’attention diminue. Pensez à vous entraîner à rester vigilant en repérant les sources de distraction : bruits, téléphones, fatigue… 


Aménagez un espace de travail optimisé avec moins d’encombrement et un bon éclairage pour favoriser l’attention. Pensez à faire des pauses, quelques minutes suffisent pour retrouver toute sa vivacité !

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Comment éviter les accidents électriques 

Même si les accidents liés à l’électricité diminuent depuis 30 ans*, ils restent parmi les plus graves. Chaque année, une dizaine de salariés perdent la vie par électrocution sur leur lieu de travail, 4 000 électrisations graves sont recensées et une centaine de décès à domicile. 

Mais alors comment éviter les accidents électriques ?


Un choc électrique peut avoir deux conséquences selon l’intensité du courant et la durée du contact. 

  • L’électrisation, quand le courant traverse le corps. Celle-ci peut provoquer des blessures plus ou moins graves et peut se produire par contact direct (avec une pièce sous tension) ou contact indirect (avec un élément conducteur mis accidentellement sous tension). 
  • L’électrocution, qui se produit lorsqu’un courant de forte intensité entraîne la mort.

Adoptez les bons gestes pour éviter tout risque

  • débranchez les appareils électriques inutilisés ;
  • évitez la surcharge des multiprises ;
  • faites vérifier et entretenir régulièrement vos installations électriques ;
  • ne manipulez jamais d’appareil électrique avec les mains ou les pieds mouillés ;
  • remplacez immédiatement tout matériel électrique endommagé (prises, interrupteurs, fils dénudés, etc.) ;
  • ne débranchez jamais un appareil en tirant sur son câble ;
  • en cas d’intervention sur des installations ou véhicules électriques : 
    • Respectez les distances de sécurité lors des manipulations par rapport aux pièces nues sous tension. Privilégiez le travail hors tension. Avant toute intervention sur une installation, coupez toujours le courant au niveau du disjoncteur général – même pour changer une ampoule ;
    • Assurez-vous que votre habilitation électrique est adaptée à l’opération à réaliser ; 
    • Portez les équipements de protection adaptés.

Si malgré tout l’accident a lieu, il faut agir vite, les premières minutes sont cruciales pour la survie de la victime ! Coupez immédiatement le courant, sans toucher au corps de la victime et prévenez les secours. 

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 *Source INRS

Journée mondiale de l’hygiène des mains

Pièce de monnaie, téléphone, poignée de porte…  Nous sommes en permanence exposés aux microbes et aux saletés. Pour s’en débarrasser, une seule solution, un bon lavage de mains ! 

Environ 80 % des infections courantes se transmettent par les mains. Afin de limiter la transmission des bactéries et les infections, le lavage de mains est le moyen le plus efficace.

Lors de la manipulation de produits chimiques, il est indispensable de porter des gants adaptés et de se laver les mains ensuite. Cela permet d’éviter toute intoxication en cas de contact avec la bouche. Même si les effets ne sont pas immédiats, une exposition répétée peut devenir nocive.

Les mains se lavent toujours à l’eau et au savon : 

  • avant de préparer les repas ;
  • pour vous occuper d’un bébé ; 
  • avant de passer à table ;
  • avant d’aller aux toilettes ;
  • après s’être mouché ;
  • après avoir utilisé les transports en commun ; 
  • avant de vous occuper d’une personne malade.

Le gel hydroalcoolique est un désinfectant efficace contre de nombreux micro-organismes, il est particulièrement utile lorsque l’accès à l’eau et au savon est limité. Cependant, il est recommandé de ne pas l’utiliser chez les enfants de moins de 3 ans. Pour ces derniers, privilégiez le lavage des mains à l’eau et au savon(ANSES).


Adopter ces gestes simples au quotidien contribue à une meilleure hygiène et à la prévention des infections.

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Tout savoir sur le congés de proche aidant

Le congé de proche aidant permet au salarié, sans condition d’ancienneté, de cesser temporairement son activité pour s’occuper d’un proche présentant un handicap ou une perte d’autonomie d’une particulière gravité. ToutRoule vous informe sur les modalités.

Le congé de proche aidant est ouvert aux salariés de droit privé, aux agents publics, aux indépendants et aux demandeurs d’emploi indemnisés qui aident un proche en situation de handicap ou un proche âgé en perte d’autonomie.

Le proche aidé peut être :
• son conjoint ; concubin ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité (PACS) ;
• son ascendant (par exemple : père) ou descendant (par exemple : fille) ;
• l’enfant dont il assume la charge ;
• son collatéral jusqu’au quatrième degré (frère, sœur, oncle, tante, neveux, nièces, grands-oncles et tantes ; petits-neveux et nièces ; cousins et cousines germains) ;
• l’ascendant, le descendant ou le collatéral jusqu’au quatrième degré de son conjoint, concubin ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité (PACS) ;
• une personne, sans lien de parenté avec lui, avec laquelle il réside ou entretient des liens étroits et stables, et à qui il vient en aide de manière régulière et fréquente à titre non professionnel pour accomplir tout ou partie

La personne aidée doit résider de manière stable et régulière en France. Peu importe qu’elle vive à son domicile, ou qu’elle soit hébergée dans un établissement ou une maison de retraite.

Comment faire la demande ?
Les salariés adressent à leur employeur une lettre recommandée avec demande d’avis de réception l’informant de leur volonté de suspendre leur contrat de travail pour bénéficier du congé de proche aidant (modèle de courrier service-public.fr).

L’employeur ne peut pas refuser le congé. En cas de refus de l’employeur, le salarié peut solliciter le conseil de prud’hommes (CPH).

Sa durée maximale est de 3 mois, renouvelable dans la limite d’un an sur l’ensemble de la carrière professionnelle, à défaut d’accord collectif plus favorable. Le maintien dans l’emploi est garanti.

Le congé peut être fractionné. Le congé peut également être transformé en période de travail à temps partiel, sous réserve de l’accord de l’employeur.

L’allocation journalière du proche aidant (AJPA) indemnise le congé proche aidant. Pour en savoir plus CLIQUEZ ICI

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Prévenir l’apparition des troubles musculosquelettiques (TMS)

Dans les services de l’automobile, l’activité professionnelle peut parfois exposer à des risques d’apparition de troubles musculosquelettiques. S’il convient d’agir sur plusieurs facteurs pour limiter leur apparition, il est possible de mettre en place une routine personnelle pour agir à son niveau sur les TMS et préserver son capital santé.

Les contraintes physiques de l’activité de travail (gestes et postures, port de charge), ainsi que les contraintes psychosociales (autonomie dans le travail, relations interpersonnelles) et celles liées à l’organisation du travail participent à l’apparition des TMS.

Chacun peut être acteur de la prévention des TMS à son niveau. En effet, si notre façon de travailler fait partie des causes d’apparition des TMS, il est possible d’adopter une routine pour limiter leur apparition et préserver son capital santé en prenant le temps de :

1 – Se préparer à l’activité, en réalisant 5 minutes d’échauffement pour préparer vos articulations aux sollicitations et ainsi diminuer le risque de blessure.

2 – Respecter les principes d’économie posturale
L’économie posturale consiste à adopter des positions et des gestes efficaces afin de préserver les muscles et les articulations.
Il est important de respecter les grands principes suivants :

  • Travailler à hauteur : Essayez au maximum d’adapter la hauteur de votre poste de travail pour limiter les contraintes sur vos articulations.
  • Limiter la fatigue d’une posture contraignante : Rapprochez-vous de la zone de travail et utilisez votre corps pour créer des points d’appui. Assurez-vous également d’être stable et à la bonne hauteur de travail.
  • Soulever une charge : Utilisez de préférence une aide à la manutention. Pliez les genoux et gardez le dos aussi droit que possible, utilisez la force des jambes pour soulever.
  • Déplacer une charge : autant que possible, préférer pousser une charge plutôt que de la tirer.
  • Adapter votre poste pour le travail sur écran : Appuyez votre dos contre le dossier, de sorte à vous vous positionner entre 45 et 80 cm de votre écran. Le haut de l’écran doit se situer au niveau de la ligne d’horizon de votre regard. Vos coudes doivent également reposer sur un support.

3 – Lever les tensions après l’activité
Réalisez des exercices d’étirements après une activité physique ou après sa journée de travail permet de lever les tensions et facilite ainsi le relâchement musculaire. Ces mouvements permettent également de redonner de la mobilité articulaire et de la souplesse.

Bon à savoir : IRP AUTO Solidarité-Prévention propose des cours de sport en ligne accessible depuis votre Espace Solidarité-Prévention, n’hésitez pas à vous lancer ! Connectez-vous à votre compte.

Lire une étiquette de produit dangereux

Manipuler des produits chimiques n’est jamais anodin. Les étiquettes sur les produits chimiques sont votre principale source d’informations et de conseils pour éviter tout accident. ToutRoule vous partage ses 7 conseils pour limiter tout risque !

Les principales informations requises sur les emballages des substances et mélanges classés dangereux sont :

1°) L’identité du fournisseur

Nom, adresse et numéro de téléphone

2°) Les identificateurs de produit

Le nom chimique et dans certains cas le numéro d’identification, le nom commercial et l’identité de certaines des substances contenues dans le mélange qui sont responsables de la classification

3°) Les pictogrammes de danger

Il s’agit de symboles noir sur un fond blanc avec encadré rouge, ils sont destinés à communiquer sur les principaux dangers contenus dans le produit

4°) Les mentions d’avertissement

On distingue deux catégories « DANGER » (utilisé pour les catégories de dangers les plus sévères) et « ATTENTION »

5°) Les mentions de danger

La nature et le degré du danger que constitue le produit chimique sont décrits. Elles sont codifiées avec la lettre « H » suivie de 3 chiffres

6°) Les conseils de prudence

Ils donnent des indications sur le stockage, la manipulation ou l’élimination du produit et que faire en cas de fuite ou d’accident. Ils sont codifiés avec la lettre « P » suivie de 3 chiffres

7°) Les informations supplémentaires (dans certains cas)

Elles peuvent compléter les informations fournies dans les mentions de danger et les conseils de prudence. Elles sont codifiées « EUH » suivie de 3 chiffres

Crédit photo : INRS

La Fiche de données et de sécurité (FDS) complète l’étiquette. Consultez là pour y retrouver les conseils de prudence avec leur code.

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On fond pour le chocolat noir…

Le chocolat noir, apprécié pour sa richesse en cacao, offre bien plus que de simples plaisirs gustatifs. Des recherches menées par les universités de Harvard et de Shanghai ont mis en lumière ses bienfaits pour la santé. À vos tablettes, ToutRoule vous partage les bénéfices du chocolat noir !

Une nourriture grasse et gourmande qui lutte contre le diabète : c’est possible ! C’est une équipe de chercheurs de Harvard et de l’université de Shanghai qui le dit, dans une étude publiée en décembre 2024*, à partir du suivi de près de 200 000 personnes pendant presque 30 ans.

Les résultats ont révélé que ceux consommant au moins cinq portions de chocolat noir par semaine avaient un risque réduit de 21 % de développer un diabète de type 2 par rapport à ceux qui en consommaient rarement ou jamais. Cela est possible grâce aux polyphénols contenu dans le chocolat noir.

Voici 9 autres avantages à consommer du chocolat noir pour la santé :

  1. Amélioration de la santé cardiaque : Le chocolat noir aide à améliorer la circulation sanguine, réduit la pression artérielle et diminue le risque de maladies cardiaques grâce à ses flavonoïdes.
  2. Antioxydants puissants : Il est riche en antioxydants comme les flavonoïdes et les polyphénols, qui aident à combattre les radicaux libres et à protéger les cellules du vieillissement prématuré.
  3. Amélioration de la fonction cérébrale : La consommation de chocolat noir favorise une meilleure circulation sanguine dans le cerveau, ce qui peut améliorer la mémoire, la concentration et les fonctions cognitives.
  4. Réduction du stress : Le chocolat noir aide à réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) dans le corps, favorisant ainsi un effet apaisant.
  5. Amélioration de l’humeur : Il stimule la production d’endorphines et de sérotonine, des hormones liées au bien-être, ce qui peut aider à lutter contre la dépression et l’anxiété.
  6. Contrôle du poids : Le chocolat noir, avec sa faible teneur en sucre et son pouvoir de satiété, peut aider à contrôler l’appétit et à éviter les grignotages.
  7. Amélioration de la sensibilité à l’insuline : Les antioxydants du chocolat noir aident à améliorer la sensibilité à l’insuline, ce qui peut contribuer à une meilleure gestion du glucose sanguin.
  8. Protection de la peau : Les flavonoïdes présents dans le chocolat noir peuvent aider à protéger la peau des dommages causés par les rayons UV et à favoriser une peau plus hydratée et souple.
  9. Réduction de l’inflammation : Le chocolat noir possède des propriétés anti-inflammatoires, ce qui peut être bénéfique pour prévenir certaines maladies inflammatoires chroniques.

À consommer avec modération…
Bien que ces résultats soient prometteurs, il est essentiel de consommer le chocolat noir avec modération. Savourer du chocolat noir de qualité peut être bénéfique pour votre santé, notamment en réduisant le risque de diabète de type 2. N’hésitez pas à l’inclure dans votre alimentation quotidienne, tout en veillant à maintenir un mode de vie sain et équilibré.

Si vous êtes salariés de la branche des services de l’automobile, vous avez accès gratuitement à la plateforme Internet et à l’application mobile Nutrition sur simple inscription**. Plusieurs contenus sont disponibles (articles, recettes, menus, défis, Webconférences, etc.) pour progresser dans ses habitudes alimentaires.
Connectez-vous à votre compte pour en savoir plus.

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* Étude publiée dans le British Medical Journal.
** Inscription depuis l’Espace Solidarité-Prévention.

Le pont élévateur : les précautions à prendre

Le pont élévateur est un outil fréquemment utilisé dans les ateliers d’entretien ou de réparation automobile. Retrouvez les précautions à prendre pour garantir sa sécurité.

Pour intervenir sur les véhicules automobiles il faut utiliser un pont élévateur et des précautions doivent être prises comme :

  1. respecter la charge maximale de levage ;
  2. identifier les points de levage des véhicules et vérifier leur état ;
  3. s’assurer que la zone de travail est bien dégagée afin de réaliser une intervention dans de bonnes conditions.

Ces actions de prévention permettent de garantir sa sécurité en évitant tout risque d’écrasement pouvant conduire à un accident grave.

Il est important de rester très attentifs tout au long de l’utilisation de cet équipement. Avant, pendant ou après la réalisation du levage !

Travail en fosse : adoptez les bons réflexes pour votre sécurité !

Travailler dans les fosses de visite et de réparation est une pratique courante dans les garages automobiles. Pour appliquer les mesures préventives adaptées, il est essentiel de connaître les dangers. ToutRoule fait le point !

Le travail dans les fosses de visite et de réparation comporte des risques significatifs pour la sécurité des mécaniciens, comme par exemple :

  • les chutes et trébuchements : les bords non protégés des fosses peuvent entraîner des chutes graves. Les sols glissants dus aux déversements de liquides augmentent ce risque ;
  • l’exposition aux substances dangereuses : une ventilation insuffisante dans la fosse peut exposer les mécaniciens à des vapeurs toxiques ou inflammables ;
  • les incendies et explosions : l’accumulation de gaz inflammables combinée à une source d’ignition peut provoquer un incendie ou une explosion ;
  • les troubles musculosquelettiques (TMS) : les postures contraignantes et les gestes répétitifs lors des interventions en fosse augmentent le risque de TMS.

Pour réduire ces différents des mesures de prévention recommandées sont à appliquer :

  • sécuriser les bords de la fosse : installer des garde-corps, des barrières ou utiliser des rideaux de fosse pour limiter les chutes ;
  • mettre en place une signalisation claire : délimiter la zone avec une bande colorée et antidérapante pour améliorer la visibilité ;
  • assurer une ventilation efficace : vérifier régulièrement l’aération de la fosse pour évacuer les vapeurs nocives ;
  • utiliser un éclairage sécurisé : privilégier un éclairage antidéflagrant adapté aux environnements à risque ;
  • adoptez de bonnes postures : utilisez des supports ergonomiques (tabourets, coussins) et évitez les gestes brusques. Faites des pauses régulières pour limiter la fatigue ;
  • travaillez en binôme : une présence supplémentaire peut être précieuse en cas d’incident.

Le saviez-vous ?
Avant toute intervention sous un véhicule, la première chose à vérifier est sa stabilisation. Un simple contrôle peut éviter un accident grave.

Sources : CCHST (Centre Canadien d’Hygiène et de Sécurité au Travail) ; Auto-Prévention Officiel Prévention ;INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité).

Focus sur l’endométriose

L’endométriose est une maladie gynécologique qui touche 1 femme sur 10. Les symptômes ont un réel impact sur la qualité de vie personnelle et professionnelle des personnes atteintes. ToutRoule fait le point sur cette maladie qui tarde à être diagnostiquée (délai moyen de 7 ans*).

Focus sur l'endométriose

Maladie longtemps ignorée, parfois très difficile à vivre au quotidien, l’endométriose se définit comme la présence en dehors de la cavité utérine de tissu semblable à la muqueuse utérine qui subira, lors de chacun des cycles menstruels ultérieurs, l’influence des modifications hormonales.

À chaque cycle menstruel, les lésions se développent et saignent. C’est pourquoi l’endométriose est qualifiée de maladie œstrogèno-dépendant.

Cette anomalie provoque des lésions sur les tissus atteints, pouvant entraîner douleurs et infertilité. Le symptôme le plus courant de l’endométriose est la douleur :

  • règles douloureuses (dysménorrhée) ;
  • pendant les rapports sexuels (dyspareunie) ;
  • pelviennes fréquentes ;
  • lors de la défécation ;
  • difficulté pour uriner (dysurie) ;
  • abdominales (ombilicales, etc.) ;
  • etc.

Les symptômes tendent à s’atténuer ou disparaitre après la ménopause.

Il existe différentes formes d’endométrioses (superficielle, profonde, endométriome et adénomyose). Certaines endométrioses dites « asymptomatiques » se développent sans bruit, sans douleurs et souvent, dans ce cas, on découvre l’endométriose par hasard, ou lors d’un bilan de fertilité.

Comment diagnostiquer l’endométriose ?
Le diagnostic repose tout d’abord sur un échange avec son médecin généraliste, gynécologue ou sage-femme, sur un examen clinique puis sur un bilan d’imagerie qui comporte une échographie pelvienne et éventuellement une IRM pelvienne. Mais lorsque les lésions sont superficielles ou minimes, l’imagerie peut être non concluante.

Le diagnostic de la maladie est complexe car la maladie revêt des formes variées.
Un diagnostic le plus précoce possible, évite une potentielle aggravation des symptômes et une détérioration de la qualité de vie

Bon à savoir : La HAS (Haute Autorité de Santé) propose un accès au test salivaire Endotest®
Certaines femmes de plus de 18 ans, pour lesquelles une endométriose est fortement suspectée, pourront réaliser gratuitement un test salivaire pris en charge, à condition de participer à une étude clinique, qui prévoit d’inclure 2 500 patientes, réparties dans 80 centres volontaires. Plus d’infos ICI.

* Source : Inserm.
** Source : sante.gouv.fr.

Prévenir le rhume des foins

Avec les beaux jours, les pollens à fleurs sont de retour et peuvent provoquer des allergies saisonnières, plus communément appelées « rhume des foins ». Retrouvez nos conseils pour adopter les bons réflexes pendant cette période.

L’allergie est une réaction excessive du système immunitaire qui se défend face à un élément étranger. Dans le cas des allergies saisonnières, lorsque le pollen est inhalé ou en contact avec les muqueuses (yeux, nez et bouche), divers symptômes peuvent apparaître, comme :

• le nez qui coule ;

• les quintes de toux ;

• les yeux qui pleurent.

Voici nos conseils pendant les périodes de pollens :

• privilégiez le sport en salle, et assurez-vous au préalable qu’aucune fenêtre n’est ouverte lorsque vous commencez votre séance ;

• privilégiez les promenades après la pluie. L’eau est idéale pour absorber les pollens et les fixer au sol. Les pollens ont la mauvaise habitude de se fixer à vos vêtements comme à vos cheveux. Lavez vos cheveux et vos habits lorsque vous revenez chez vous et changez-vous ;

en voiture, il est préférable de rouler fenêtres fermées lorsque l’on souffre d’asthme allergique. Vous éviterez ainsi de faire entrer les pollens à l’intérieur. Si votre climatisation est allumée, pensez à activer le mode « recyclage de l’air intérieur » ;

restez informé : le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) publie ses bulletins allergo-polliniques, par région et par ville. Si vous les surveillez régulièrement, vous parviendrez à adapter vos activités à l’extérieur.

Si vous travaillez en extérieur et que vous êtes sujet au « rhume des foins », l’utilisation des protections individuelles (lunettes et masque de protection) est indispensable pour éviter d’entrer en contact avec les allergènes.