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Mis en avant

Prêt à relever le défi du dry january ?

La diète après les fêtes fait souvent partie des bonnes résolutions. Pourquoi alors ne pas tenter le Dry January (« janvier sobre ») ? Il met au défi les volontaires de ne pas boire d’alcool pendant tout le mois de janvier.

Le Dry January est un concept imaginé par une association britannique afin d’encourager les participants à faire un point sur leur relation avec l’alcool et à mieux contrôler leur consommation. L’année dernière, au Royaume-Uni, plus de 5 millions de personnes y ont participé.

DES BIENFAITS IMMÉDIATS SUR LA SANTÉ

Dès les premiers jours, les participants observent une meilleure qualité de sommeil, une perte de poids, une hausse d’énergie, une meilleure concentration et une amélioration de la qualité de leur peau.

Même les personnes qui n’ont pas pu parvenir à une abstinence complète, mais qui ont réduit leur consommation, ont ressenti des effets bénéfiques sur leur santé.

Une étude de l’université du Sussex (groupe d’étude suivi pendant six mois, jusqu’en août 2018) démontre également que « le simple fait de passer un mois sans alcool aiderait les gens à moins boire sur le long terme ». Au mois d’août, les participants ont ainsi rapporté boire 3,3 jours par semaine, contre 4,3 l’année d’avant.

Enfin, le Dry January permet de réaliser une économie d’argent non négligeable.

ÊTES-VOUS PRÊT À RELEVER LE DÉFI ?*

Parlez-en autour de vous.

À plusieurs, c’est plus facile, et vous pourrez échanger des astuces et recettes de boissons sans alcool.

* Pour les personnes habituées à une forte consommation ou avec un risque de dépendance, il est recommandé de consulter un médecin.

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Prévenir le rhume des foins

Avec les beaux jours, les pollens à fleurs sont de retour et peuvent provoquer des allergies saisonnières, plus communément appelées « rhume des foins ». Retrouvez nos conseils pour adopter les bons réflexes pendant cette période.

L’allergie est une réaction excessive du système immunitaire qui se défend face à un élément étranger. Dans le cas des allergies saisonnières, lorsque le pollen est inhalé ou en contact avec les muqueuses (yeux, nez et bouche), divers symptômes peuvent apparaître, comme :

• le nez qui coule ;

• les quintes de toux ;

• les yeux qui pleurent.

Voici nos conseils pendant les périodes de pollens :

• privilégiez le sport en salle, et assurez-vous au préalable qu’aucune fenêtre n’est ouverte lorsque vous commencez votre séance ;

• privilégiez les promenades après la pluie. L’eau est idéale pour absorber les pollens et les fixer au sol. Les pollens ont la mauvaise habitude de se fixer à vos vêtements comme à vos cheveux. Lavez vos cheveux et vos habits lorsque vous revenez chez vous et changez-vous ;

en voiture, il est préférable de rouler fenêtres fermées lorsque l’on souffre d’asthme allergique. Vous éviterez ainsi de faire entrer les pollens à l’intérieur. Si votre climatisation est allumée, pensez à activer le mode « recyclage de l’air intérieur » ;

restez informé : le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) publie ses bulletins allergo-polliniques, par région et par ville. Si vous les surveillez régulièrement, vous parviendrez à adapter vos activités à l’extérieur.

Si vous travaillez en extérieur et que vous êtes sujet au « rhume des foins », l’utilisation des protections individuelles (lunettes et masque de protection) est indispensable pour éviter d’entrer en contact avec les allergènes.

Qu’est-ce que l’apnée du sommeil ?

L’apnée du sommeil concerne environ 3 millions de personnes en France. Cependant 7 sur 10 ne le savent pas encore*. L’apnée du sommeil est un trouble respiratoire du sommeil qui se caractérise par des pauses respiratoires de 10 à 30 secondes, voire plus, pouvant se répéter plus de 10 fois par heure. Ces apnées entraînent des micro-réveils qui retentissent fortement sur la qualité de vie.

Les symptômes de l’apnée du sommeil apparaissent pendant la nuit et se manifestent par :

  • un ronflement sévère et quotidien, qui gêne souvent les proches. Il est présent dans 95 % des cas ;
  • des épisodes de respiration haletante pendant le sommeil ;
  • des réveils répétés, en sursaut, avec sensation d’asphyxie ou d’étouffement ;
  • un sommeil agité, entrecoupé de micro-éveils à répétition ou parfois des insomnies;
  • des cauchemars sur des thèmes d’asphyxie, de chute ou de mort imminente ;
  • un besoin d’uriner plus d’une fois au cours de la nuit (nycturie).

Les facteurs favorisant l’apnée du sommeil sont :

  • le surpoids et l’obésité : 70 % des personnes concernées sont en surpoids ;
  • l’âge : 30 % des personnes de plus de 65 ans sont impactées ;
  • le sexe : les hommes sont deux fois plus exposés que les femmes ;
  • l’obstruction nasale plus ou moins permanente : conséquence de problèmes ORL (oto-rhino-laryngologiques), chirurgicaux, allergiques, etc. ;
  • les anomalies de taille et de position de : la mâchoire (mandibule trop petite par exemple), de la langue (langue très volumineuse) et du palais (luette, amygdales, etc.) ;
  • l’alcool, les sédatifs et le tabac : peuvent aggraver les symptômes.

Sans une bonne qualité de sommeil, la personne, présentant des apnées du sommeil, somnole fréquemment dans la journée et subit souvent des endormissements incontrôlables.

Elle a des difficultés à se concentrer, présente des troubles de la mémoire et de la concentration, des troubles de l’humeur ; elle ne peut pas être efficace, chez elle, au travail ou en collectivité.

En raison de la baisse de la vigilance, le taux d’accidents de voiture et d’accidents du travail est plus élevé chez les personnes présentant une apnée du sommeil que chez les autres, en raison de la somnolence anormale en journée.

Pour diagnostiquer une apnée du sommeil, il est impératif de consulter son médecin qui fera une évaluation des symptômes et un examen clinique.

Lorsqu’une apnée du sommeil est diagnostiquée, il est possible d’améliorer la qualité de son sommeil et réduire ses symptômes en adoptant des mesures d’hygiène de vie simples :

  • perdre du poids : la perte de quelques kilos suffit souvent à améliorer la qualité de votre sommeil. Ainsi, une perte de 10 % du poids réduit de 26 % la gravité (fréquence et durée) des apnées
  • dormir sur le côté : le fait de dormir sur le côté permet souvent de réduire les apnées du sommeil. Il existe des pyjamas spéciaux (avec une balle cousue dans le dos) qui empêchent le dormeur de se remettre sur le dos pendant la nuit.
  • surélever le lit : cela facilite l’ouverture des voies respiratoires et peut être efficace en cas d’apnées légères ;
  • éviter les somnifères et l’alcool : ils augmentent le relâchement des muscles de la gorge et de la langue et ont pour conséquence d’aggraver les apnées.

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* Source : Alliance apnée du sommeil.

Risque chimique : comment s’en protéger

Dans les métiers de l’automobile, l’utilisation de substances chimiques telles que les dégraissants, solvants ou peintures fait partie du quotidien. Bien que nécessaires, ces produits présentent des dangers pour la santé et la sécurité : irritations, brûlures, intoxications, voire maladies à long terme. ToutRoule vous partage les bonnes pratiques pour se protéger efficacement au travail.

Les Équipement de protection collective (EPC) sont la première barrière contre les risques chimiques. Mis à disposition de l’employeur les EPC sont capables d’assurer valablement la protection des salarisé contre un ou plusieurs risques professionnels et d’en limiter les conséquences*.

Pour les EPC limitant le risque chimique, assurez-vous que :
• les systèmes de ventilation et d’extraction des vapeurs de peinture ou de solvants sont opérationnels ;
• les zones de stockage des produits chimiques sont bien isolées et sécurisées ;
• les fuites ou déversements sont rapidement nettoyés grâce aux dispositifs disponibles (bacs de rétention, absorbants).

Ces dispositifs protègent l’ensemble de l’équipe et limitent votre exposition.

Même avec des EPC en place, les Équipements de protection individuelle (EPI) sont indispensables pour manipuler des produits chimiques. Adaptez votre équipement aux risques :
gants spécifiques : pour protéger vos mains contre les produits corrosifs ou irritants. Vérifiez qu’ils sont adaptés aux substances manipulées ;
lunettes ou visières : pour éviter les projections dans les yeux, particulièrement lors des phases de mélange ou d’application ;
masques filtrants : indispensables lors de la peinture ou de l’utilisation de solvants pour éviter l’inhalation de vapeurs toxiques ;
combinaisons et chaussures adaptées : pour protéger votre peau et éviter les contaminations.

💡 Astuce : Pensez à vérifier régulièrement l’état de vos EPI et remplacez-les si nécessaire.

Les contacts fréquents avec des substances chimiques exigent une hygiène stricte :
lavez-vous soigneusement les mains même si vous avez porté des gants. Des résidus invisibles peuvent rester sur vos mains et contaminer vos outils, votre nourriture ou votre visage ;
ne mangez ni ne buvez dans l’atelier, même pour de courtes pauses. Les produits chimiques peuvent migrer sur les surfaces ou vos vêtements ;
changez-vous à la fin de la journée pour éviter d’emmener des contaminants chez vous.

Chaque produit chimique que vous utilisez s’accompagne d’une Fiche de données de sécurité (FDS). Prenez le temps de la lire pour comprendre les risques associés et les précautions à prendre.

À votre avis… Pourquoi est-il risqué de mélanger des produits chimiques, même ceux que l’on utilise fréquemment, comme les dégraissants et les nettoyants ?
👉 Parce que certains mélanges peuvent libérer des vapeurs toxiques ou provoquer des réactions dangereuses, comme des explosions ou des incendies.

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* Définition INRS.

Travail en fosse : Adoptez les bons réflexes pour votre sécurité !

Travailler dans les fosses de visite et de réparation est une pratique courante dans les garages automobiles, mais elle comporte des risques significatifs pour la sécurité des mécaniciens. Il est essentiel de connaître ces dangers et d’appliquer des mesures préventives adaptées. ToutRoule vous dit tout !

Les principaux risques associés aux fosses de visite sont :
les chutes et trébuchements : Les bords non protégés des fosses peuvent entraîner des chutes graves. Les sols glissants dus aux déversements de liquides augmentent ce risque.
l’exposition aux substances dangereuses : Une ventilation insuffisante dans la fosse peut exposer les mécaniciens à des vapeurs toxiques ou inflammables ;
l’incendies et explosions : L’accumulation de gaz inflammables combinée à une source d’ignition peut provoquer un incendie ou une explosion ;
les troubles musculosquelettiques (TMS) : Les postures contraignantes et les gestes répétitifs lors des interventions en fosse augmentent le risque de TMS.

Mesures de prévention recommandées

  • Sécuriser les bords de la fosse : Installer des garde-corps, des barrières ou utiliser des rideaux de fosse pour limiter les chutes.
  • Mettre en place une signalisation claire : Délimiter la zone avec une bande colorée et antidérapante pour améliorer la visibilité.
  • Assurer une ventilation efficace : Vérifier régulièrement l’aération de la fosse pour évacuer les vapeurs nocives.
  • Utiliser un éclairage sécurisé : Privilégier un éclairage antidéflagrant adapté aux environnements à risque.
  • Adoptez de bonnes postures : Utilisez des supports ergonomiques (tabourets, coussins) et évitez les gestes brusques. Faites des pauses régulières pour limiter la fatigue.
  • Travaillez en binôme : Une présence supplémentaire peut être précieuse en cas d’incident.

Le saviez-vous ?

Avant toute intervention sous un véhicule, la première chose à vérifier est sa stabilisation. Un simple contrôle peut éviter un accident grave.

Sources : CCHST (Centre Canadien d’Hygiène et de Sécurité au Travail) ; Auto-Prévention Officiel Prévention ;INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité)

Les principales sources de bruit et comment s’en protéger

Le bruit des outils fait partie intégrante en atelier. Pourtant, ces sons familiers, comme ceux de la clé à chocs ou de la soufflette, cachent des risques pour votre santé. Comment continuer à travailler efficacement tout en préservant votre audition ? Voici quelques conseils simples pour vous protéger.

Certains outils utilisés dans les ateliers produisent des niveaux sonores élevés :
• soufflette à air comprimé : 95 dB en moyenne ;
• clé à chocs ou déboulonneuse : jusqu’à 98 dB ;
• marteau : environ 100 dB ;
• ponçeuses et disqueuses : 96 dB pour les modèles pneumatiques ou électriques.

Pour donner un ordre d’idée, une exposition à 80 dB pendant 8 heures est aussi dangereuse qu’une exposition pendant 15mn à 95 dB.

Bien que la priorité soit de réduire le bruit à la source, voici quelques actions simples que vous pouvez mettre en œuvre pour vous protéger contre le bruit au quotidien :
faire des pauses régulières : Lorsque vous travaillez dans un environnement bruyant, faites des pauses fréquentes pour vous éloigner des sources de bruit et permettre à vos oreilles de se reposer ;
signaler les sources de bruit excessif : Si vous repérez des équipements qui génèrent trop de bruit, signalez-les pour qu’une action soit prise.

Même avec des mesures collectives pour réduire le bruit, les EPI sont indispensables pour protéger votre audition :
casques antibruit : réduisent le bruit jusqu’à 25 dB ;
bouchons moulés sur mesure : confortables et adaptés à une utilisation prolongée ;
bouchons classiques jetables : pratiques pour une utilisation ponctuelle.

Veillez à porter ces protections en permanence dans les zones à risque, et à les entretenir correctement.
• évitez les mauvaises utilisations des outils bruyants, comme utiliser une soufflette pour nettoyer vos vêtements ;
• planifiez les tâches bruyantes pour limiter leur durée et alterner avec des moments de calme.

À votre avis…À partir de quel niveau sonore l’audition devient-elle dangereuse ? risque ?
👉 Dès 80 dB pour une exposition de 8 heures. Au-delà de ce seuil, l’employeur doit évaluer le risque, et un examen audiométrique préventif peut être demandé à la demande du salarié ou du médecin du travail. »

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L’incontournable de l’hiver : la soupe !

Longtemps considérée comme un plat réservé aux personnes d’un certain âge, la soupe a aujourd’hui de nouveau la côte. Facile à préparer, atteignant l’objectif de 5 fruits et légumes par jour en un seul plat, elle a également d’autres atouts pour notre santé… ToutRoule se met à table pour vous les partager.

Épaisse ou légère, elle est un incontournable des repas d’hiver. Concoctée dans l’idéal à base de légumes de saison, la soupe regorge de bienfaits. Retrouvez ses 5 atouts principaux :

  1. riche en vitamines et minéraux grâce aux légumes qu’elle contient ;
  2. hypocalorique, ce qui en fait un allié minceur, à condition de ne pas la surcharger en féculents, en beurre ou en crème (un bol de soupe de légumes apporte en moyenne 100 à 150 kcal) ;
  3. hydratante, grâce à l’eau de cuisson qui se couple à l’eau des légumes ;
  4. riche en fibres (un bol de soupe apporte jusqu’à 25 % des apports conseillés par jour, surtout s’il contient légumes et légumineuses), ce qui facilite le transit intestinal ;
  5. enfin, elle réchauffe, ce qui est important en hiver !

Le risque de se lasser de la soupe faite maison est faible, tant les possibilités sont illimitées. Carottes, épinards, blettes, choux, oignons, potiron, etc. Tous les légumes d’hiver sont bienvenus dans les soupes et peuvent être accompagnés de viandes, de poissons, de pâtes, de riz, d’épices et d’herbes au gré de nos envies.

Pensez-y, la soupe n’est pas qu’un plat d’hiver grâce aux :

  • soupes froides. Elles désaltèrent et apportent de la fraîcheur au cœur de l’été. Les soupes froides sont aussi simples à réaliser et donnent une touche tendance à vos menus. On pense au gaspacho andalou, bien sûr, mais pas seulement : soupes glacées de courgettes, velouté de petits pois, soupe de melons, etc.
  • soupes de fruits. Les fruits aussi sont excellents mixés ou moulinés. Ils se dégustent avec légèreté, tout au long de l’été, ou en desserts, toute l’année. Fruits rouges, agrumes, fruits exotiques, etc.

Alors, soupe ou pas soupe ? 😉

Tout savoir sur le rendez-vous de liaison

Le rendez-vous de liaison est un dispositif introduit par la loi du 2 août 2021. Quel est son objectif ? Est-il obligatoire pour le salarié ? ToutRoule répond à ces questions et vous donne rendez-vous pour en savoir plus.

Le rendez-vous de liaison n’est pas un rendez-vous médical, mais une rencontre, facultative, organisée entre l’employeur et le salarié en arrêt de travail. Il est organisé à l’initiative soit de l’employeur ou du salarié.

Pourquoi et pour qui organiser un rendez-vous de liaison ?

Il permet, au salarié en arrêt de plus de 30 jours (continu ou discontinu), de faire un point avec son employeur pour mieux préparer son retour au travail.
Il vise à informer le salarié sur les mesures d’accompagnement possibles, selon sa situation : aménagement du poste ou du temps de travail, visite de pré-reprise, etc.

L’objectif principal du rendez-vous de liaison est de renforcer la prévention en santé au travail en créant une rencontre entre le salarié et son employeur pour anticiper et aménager, si besoin, le retour au travail.

Suivant la situation et les éventuels besoins identifiés, le Service de Prévention et de Santé au Travail peut y être associé sous différentes formes.

Le saviez-vous ?

Si l’employeur est à l’initiative du rendez-vous de liaison, le salarié peut le refuser.
Le salarié peut également demander à être accompagné du référent handicap quand il existe dans l’entreprise et ce dernier est tenu à une obligation de discrétion.

Risque chimique : comment éviter un départ de feu ?

Le risque d’incendie n’est pas à prendre à la légère. Le départ de feu peut engendrer des dégâts plus ou moins importants : retrouvez nos conseils pour réduire ce risque.

Pour qu’un incendie se produise, 3 éléments doivent être présents ensemble au même moment :

#1 – Combustible : essence, solvants, etc.

#2 – Comburant : dioxygène, ozone, etc.

#3 – Énergie d’activation : étincelle, soleil, etc.

Pour éviter le départ de feu, il faut IMPÉRATIVEMENT éviter l’association de ces 3 éléments.

Pour réduire le risque de départ de feu, voici les mesures de prévention à suivre :

  • Stocker les produits inflammables dans des armoires anti-feu, sur un bac de rétention ;
  • Ne pas fumer/vapoter dans un atelier ou un local à risque ;
  • Installer un système d’alarme incendie et du matériel de lutte contre l’incendie (extincteurs).
= Les 3 mesures de prévention.

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Téléphone ou conduite ? Il faut choisir

Le téléphone au volant multiplie par 3 le risque d’accident et lire un SMS au volant multiplie par 23 ce risque* ! Le Code de la route interdit d’utiliser son téléphone au volant. Quelles sont les sanctions et les dangers en cas de non-respect de l’interdiction ? ToutRoule fait le point et vous partage ses conseils pour débrancher !

80 % des Français reconnaissent utiliser leur téléphone en conduisant**.

En tant que conducteur, il est nécessaire d’être concentré sur la route pour réagir rapidement et maîtriser sa conduite. Le téléphone est un distracteur. Détourner les yeux de la route pour l‘utiliser augmente considérablement le temps de réaction et la distance d’arrêt lors d’un freinage et aggrave n’importe quel accident corporel notamment entre une voiture et un piéton ou un deux-roues.

Le conducteur est sanctionné d’une amende forfaitaire de 135€ et d’un retrait de 3 points du permis de conduire en cas :

  • de conduite avec un téléphone à la main et de consultation ou manipulation de son téléphone en conduisant ;
  • de port à l’oreille de tout dispositif susceptible d’émettre du son (conversations téléphoniques, musique, radio, etc.)

Si un conducteur tient son téléphone en main en même temps qu’il commet une autre infraction, il risque la rétention immédiate de son permis de conduire, qui pourra être suivie d’une suspension administrative du permis de conduire pour une durée maximale de six mois.

Voici nos conseils pour ne pas être tenté d’utiliser votre téléphone au volant :

  • placez votre téléphone hors de votre champ de vision direct ;
  • anticipez vos appels avant de prendre le volant ;
  • si vous n’avez pas pu anticiper vos appels, faites une pause en vous garant moteur éteint pour passer vos appels ;
  • si vous êtes accompagné, n’hésitez pas à demander à votre interlocuteur de décrocher et répondre à votre place.

À votre avis…
Peut-on être verbalisé si l’on téléphone dans sa voiture à l’arrêt ?

Une voiture est considérée comme étant en circulation même si elle est à l’arrêt dans les embouteillages, à un feu rouge ou sur le bord de la route. L’usage du téléphone tenu en main dans ces conditions est donc toujours interdit et vous risquez d’être verbalisé.
Pour pouvoir téléphoner dans sa voiture, le véhicule doit être garé moteur éteint, sur un stationnement autorisé, un parking ou une place de stationnement.

Vous souhaitez en savoir plus sur l’hyperconnexion et obtenir des conseils ? Cliquez ICI pour consulter notre article.

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* Source : Sécurité Routière.

** Baromètre AXA Prévention 2022.

Travailler par temps froid : les bons réflexes à adopter

De nombreuses activités de la branche des services de l’automobile, tels les dépanneurs automobiles, les mécaniciens garage s’exercent en extérieur ou dans des ateliers peu chauffés. Il est essentiel de bien se préparer si on travaille par temps froid. Retrouvez les bons réflexes à adopter…

Hypothermie, glissades, gelures, fatigue accrue, assoupissements, etc. Les risques liés aux activités par temps froid sont nombreux.

En milieu extérieur, ces effets sont accentués par le vent. Lorsque celui-ci est fort et que l’exposition est longue, un risque d’hypothermie apparaît : la température interne de notre corps n’arrive plus à se réguler à 37 degrés et diminue. À 35 degrés, il s’agit du premier stade de l’hypothermie. Lorsque la température de notre corps atteint 28 degrés, les fonctions vitales sont sévèrement touchées.

Le froid peut donc avoir d’importantes répercussions, à la fois sur la santé (crispation, engourdissement, maladie, etc.) et sur la qualité du travail (accidents dus à des glissades, pertes de dextérité, etc.).

Voici des réflexes de prévention à adopter pour lutter contre le froid :

  • Couvrez-vous bien la tête, les pieds et les mains ; en effet les extrémités sont les premières parties à se refroidir quand la température baisse ;
  • Veillez à votre alimentation et, en complément, n’hésitez pas à opter pour des soupes, ainsi que pour des aliments qui font monter la sensation de chaleur (champignons, potirons, carottes, pommes de terre, riz, sarrasin, lentilles, haricots secs, noix, épices, aromates, oignons, ail, moutarde, etc.) ;
  • Hydratez-vous, puisqu’il est conseillé de boire 1,5 litre d’eau par jour et de privilégier les boissons chaudes.

Bon à savoir !

Avant la prise de poste, IRP AUTO Solidarité- Prévention vous propose un programme d’échauffement afin de mettre votre corps en mouvement et de prévenir le risque d’accident.

Parlez-en à votre responsable.

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Vacances d’hiver : bien préparer son déplacement sur la route

Conduire sur la neige ou le verglas est toujours plus compliqué qu’en conditions normales. Suivez nos conseils pour conduire en toute sécurité !

AVANT DE PRENDRE LA ROUTE

  • renseignez-vous sur les conditions météo à venir ;
  • contrôlez la pression et l’état de vos pneus ;
  • vérifiez les niveaux : huile de moteur, liquide de freins, liquide de direction assistée, liquide de refroidissement et liquide lave-glace ;
  • changez vos balais d’essuie-glaces (ils doivent être remplacés tous les ans) car ils sont davantage sollicités en raison des précipitations d’eau et de neige ;
  • testez votre batterie pour contrôler que celle-ci est correctement chargée ;
  • dégivrez votre pare-brise, les vitres, rétroviseurs et phares avec une raclette.

BIEN ÉQUIPER SON VÉHICULE

  • optez pour des pneus hiver dès que la température descend en-dessous de 7 degrés ;
  • entre le 1er novembre et le 31 mars, dans 34 départements autour des massifs montagneux*, il est obligatoire d’équiper son véhicule en pneus hiver ou de détenir des chaînes ou chaussettes à neige.

PENDANT LE TRAJET

  • augmentez les distances de sécurité ;
  • réduisez votre vitesse ;
  • allumez vos feux de croisement et enclenchez vos essuie-glaces lorsque la neige tombe.

Bon à savoir :
Les véhicules supportent mal les départs à froid. Il est recommandé de faire tourner le moteur plusieurs minutes avant de rouler. Le moteur va ainsi monter progressivement en température ce qui réduit les risques de casse.

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* Liste des départements concernés ICI.

Bien s’hydrater même en hiver

En hiver, les cas de déshydratation sont aussi fréquents qu’en été, notamment chez les personnes âgées et les nourrissons. Quels sont les risques d’une déshydration en hiver ? Et surtout, comment l’éviter ?

Durant l’hiver, nous pouvons penser que la déshydratation est improbable, car nous transpirons moins par rapport à l’été et que la température ambiante est basse, néanmoins le risque de déshydratation existe car :

  • nous avons tendance à surchauffer les pièces et quand les températures sont élevées, les pertes d’eau suivent ;
  • l’air est plus sec et bien sûr plus froid ce qui contribue au dessèchement de la peau, des cheveux et des muqueuses ;
  • contrairement à l’été, nous sommes sujets à des virus comme la grippe ou la gastro et dans ces cas, notre corps se déshydrate davantage.

Pour éviter la déshydratation, la solution est de boire au minimum 1,5 litre d’eau tous les jours (soit 6 à 8 verres), de consommer des soupes et des aliments riches en eau comme les fruits et légumes (poire, pomme, carotte, agrumes, etc.) mais aussi les produits laitiers.

La déshydratation peut engendrer un ralentissement des performances physiques et mentales, et peut entraîner de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires, des crampes. Voire des états de faiblesse ou de confusion.

Une chose est sûre, buvez autant en hiver qu’en été, votre corps en a besoin et vous améliorez votre bien-être, le sommeil et l’équilibre !

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