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Mis en avant

Prêt à relever le défi du dry january ?

La diète après les fêtes fait souvent partie des bonnes résolutions. Pourquoi alors ne pas tenter le Dry January (« janvier sobre ») ? Il met au défi les volontaires de ne pas boire d’alcool pendant tout le mois de janvier.

Le Dry January est un concept imaginé par une association britannique afin d’encourager les participants à faire un point sur leur relation avec l’alcool et à mieux contrôler leur consommation. L’année dernière, au Royaume-Uni, plus de 5 millions de personnes y ont participé.

DES BIENFAITS IMMÉDIATS SUR LA SANTÉ

Dès les premiers jours, les participants observent une meilleure qualité de sommeil, une perte de poids, une hausse d’énergie, une meilleure concentration et une amélioration de la qualité de leur peau.

Même les personnes qui n’ont pas pu parvenir à une abstinence complète, mais qui ont réduit leur consommation, ont ressenti des effets bénéfiques sur leur santé.

Une étude de l’université du Sussex (groupe d’étude suivi pendant six mois, jusqu’en août 2018) démontre également que « le simple fait de passer un mois sans alcool aiderait les gens à moins boire sur le long terme ». Au mois d’août, les participants ont ainsi rapporté boire 3,3 jours par semaine, contre 4,3 l’année d’avant.

Enfin, le Dry January permet de réaliser une économie d’argent non négligeable.

ÊTES-VOUS PRÊT À RELEVER LE DÉFI ?*

Parlez-en autour de vous.

À plusieurs, c’est plus facile, et vous pourrez échanger des astuces et recettes de boissons sans alcool.

* Pour les personnes habituées à une forte consommation ou avec un risque de dépendance, il est recommandé de consulter un médecin.

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ce sujet. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

Protéger ses yeux de la lumière bleue

Nous sommes chaque jour un peu plus nombreux à être exposés à la lumière bleue émise par les appareils électroniques, surtout le soir, qui peut perturber le sommeil et l’endormissement et contribuer à la fatigue diurne. Retrouvez nos conseils pour avoir à l’œil la lumière bleue artificielle…

La lumière bleue naturelle du soleil est importante pour maintenir le rythme circadien (notre cycle naturel de sommeil et d’éveil). Elle aide aussi à améliorer l’humeur, la mémoire et les fonctions cognitives.

La lumière bleue artificielle est émise par les appareils électroniques, on la trouve, par exemple :

  • dans l’éclairage public ;
  • les phares de voiture ;
  • certains éclairages d’ambiance ;
  • les lampes torches.

Mais elle est surtout présente dans les LED de nos écrans :

  • ordinateur ;
  • téléviseur ;
  • tablette ;
  • smartphone.

Ces appareils faisant partie de notre quotidien, nous sommes constamment exposés à la lumière bleue artificielle, parfois sans même nous en rendre compte.

Une trop grande exposition à la lumière bleue émise par les appareils électroniques supprime la production de la mélatonine, retarde l’endormissement et réduit la vigilance matinale. Le problème est particulièrement aigu chez les adolescents chez qui le cycle veille-sommeil est décalé comparativement à celui des jeunes enfants ou des adultes.

Voici nos conseils pour protéger vos yeux :

  • respecter les distances recommandées avec les appareils : placer l’équipement à une longueur équivalente à celle de l’avant-bras (téléphone, tablette, ordinateur) et de 3 à 4 mètres pour la télévision ;
  • réglez la luminosité de votre écran. Elle doit être douce ;
  • faites des micropauses oculaires. Quittez votre écran des yeux régulièrement en regardant au loin quelques secondes ;
  • en soirée, utiliser la fonction filtre anti-lumière bleue de votre appareil ou installer une application permettant de modifier la température des couleurs en fonction de la journée et de réduire l’émission de lumière bleue ;
  • portez au besoin des lunettes anti-lumière bleue.

Risque de coupure : comment l’éviter ?

Que ce soit au travail ou à la maison, chacun de nous est exposé quotidiennement au risque de coupure. Allant de la simple égratignure à l’entaille profonde, il peut avoir de lourdes conséquences et touche principalement les mains et les doigts. Retrouvez nos recommandations pour réduire ce risque.

Le risque de cisaillement, de coupure ou de sectionnement appartient à la catégorie du risque mécanique. Il est indissociable de l’utilisation d’une machine, d’un outil ou d’un équipement.

À la maison

De nombreux accidents se déroulent à la maison et notamment les accidents liés à l’utilisation de couteaux de cuisine, à la manipulation des lames d’une tondeuse à gazon ou encore d’une tronçonneuse.

Au travail

Les accidents de travail qui impliquent des coupures sont très répandus, notamment dans la branche des services de l’automobile dans laquelle les salariés sont amenés à utiliser des équipements tranchants (meuleuse, scie, pinces coupantes, etc.). Les accidents les plus graves atteignant les tendons ou faisant état d’un sectionnement peuvent engendrer, dans le pire des cas, une incapacité de travail permanente.

Conseils et recommandations à la maison et au travail :

  • utiliser des d’outils sécurisés (coupe-film sécurisé, cutter avec lame rétractable, boite de conserve avec ouverture facile, etc.) ;
  • privilégier des dispositifs équipés de protections (barrières, grilles, lasers, tapis sensibles, etc.) ;
  • respecter les bonnes pratiques d’utilisation des outils (ne pas orienter la lame du couteau/cutter vers soi, s’appuyer sur un plan de travail stable, etc.) ;
  • se protéger : utiliser des EPI (gants, tablier, etc.) ;
  • Prendre son temps et être concentré sur sa tâche.

Le saviez-vous ?

45 % des accidents domestiques sont liés à des coupures dont plus de la moitié concernent les enfants âgés de 0 à 16 ans.

On fait le point sur « mon bilan prévention »

Vous souhaitez devenir acteur de votre santé mais vous vous interrogez pour savoir comment faire et vers qui vous tourner ? Le dispositif Mon bilan prévention mis en place par l’Assurance maladie est là pour vous ! En quoi consiste-t-il ? Qui peut en bénéficier ? ToutRoule fait le bilan !

Mon Bilan Prévention est un rendez-vous qui permet de rencontrer un professionnel de santé, afin d’aborder différents sujets tels que : les habitudes de vie, les maladies chroniques, les dépistages, le point sur sa vaccination, etc.

Savez-vous que les maladies chroniques représentent la première cause de mortalité mondiale et que cela représente 86 % des décès en Europe*.

Mon bilan prévention permet de repérer les facteurs risques, afin d’aider les patients à devenir acteur de leur santé. Pour réaliser ce bilan, il est possible de s’adresser à :

  • un médecin ;
  • un infirmier ;
  • un pharmacien ;
  • une sage-femme.

Les tranches d’âges qui bénéficient de Mon Bilan prévention sont les :

  • 18-25 ans ;
  • 45-50 ans ;
  • 60-65 ans ;
  • 70-75 ans.

En amont du Bilan Prévention, il est possible de remplir un autoquestionnaire (environ 40 questions) mais celui-ci n’est pas obligatoire.

D’une durée de 30 à 45 minutes le bilan se déroule en 3 étapes :

  1. repérage des risques individuels (antécédents médicaux, comportement et habitude de vie, etc.) ;
  2. priorisation d’un ou deux sujets de prévention (priorisation d’un ou deux sujets à aborder. Le but étant de traiter le ou les deux sujets prioritaires et ainsi trouver la motivation pour réaliser un changement d’habitude) ;
  3. Rédaction du Plan personnalisé de prévention (PPP) : objectifs, obstacles, actions, ressources.

Mon Bilan Prévention est totalement pris en charge par l’Assurance Maladie pour tous les assurés, sans frais à avancer. Vous souhaitez en savoir plus ? N’hésitez pas à consulter le livret mis à disposition ICI

* Source : ameli.fr

Que faire en cas de brûlure ?

Au quotidien, les occasions de se brûler sont nombreuses : barbecue renversé, contact appuyé avec une plaque de cuisson, projection de produits chimiques ménagers, etc. Superficielle ou profonde, une brûlure cutanée impose des réflexes et des soins adaptés. Retrouvez-nos conseils.

70 % des brûlures ont lieu au domicile et plus de la moitié touchent des enfants de moins de cinq ans. Ne laissez rien à portée des petites mains, rentrez les manches des casseroles vers le mur et tenez à distance les objets chauds comme le fer à repasser.

Si malgré des précautions, une brûlure survient, voici les bons réflexes à mettre en place :

  • refroidissez dès que possible la brûlure avec de l’eau à température ambiante durant 15 à 20 minutes au minimum et tant qu’elle reste douloureuse. Vous empêcherez ainsi la peau de continuer à brûler et soulagerez la douleur ;
  • en cas de brûlure avec un produit chimique, rincez abondamment la plaie à l’eau tiède le plus tôt possible et pendant au moins 30 minutes, afin de diluer le produit toxique. Reportez-vous à la notice du produit et contacter les secours.

Que faire en cas de coup de soleil ?

Privilégier l’aloe vera en gel qui fonctionne très bien sur les brûlures, aussi l’huile de ricin et l’huile essentielle de lavande aspic.

Le saviez-vous ?

Sur une brûlure, n’appliquez ni beurre, ni huile, ni vinaigre. Évitez aussi les glaçons, car ils auraient pour effet d’aggraver la destruction des tissus. De même, pas de pansement sur une brûlure chimique !

Si vous n’avez pas de point d’eau à proximité, pour une brûlure autre que chimique, il est possible d’utiliser des compresses hydrogel (disponibles en pharmacie).

Boire de l’eau pour éviter la surchauffe !

Hydrater son corps, c’est comme ajouter du liquide de refroidissement dans son moteur ! L’eau est donc essentielle à notre corps. Retrouvez nos conseils pour rester hydraté.

Avoir soif est déjà un signe de déshydratation. Lorsque l’on est déshydraté, on peut également ressentir des maux de tête, de la fatigue ou des vertiges.

Notre corps est constitué à 60 % d’eau : il faut absolument remplacer les pertes quotidiennes pour fonctionner sans panne. Il est donc nécessaire de compenser en buvant au moins 1,5 L d’eau par jour. Les besoins peuvent augmenter selon l’âge, la teneur en sel des aliments, la chaleur ambiante et l’activité physique.

Les pertes hydriques quotidiennes sont égales à environ 2,6 L, soit :

• 1,7 L par l’urine et les selles

• 0,5 L par la peau

• 0,4 L par la respiration

Pour rester hydrater tout au long de la journée :

Bon à savoir : Les boissons non sucrées comme le café, le thé, la tisane ou l’eau aromatisée sans sucre ajouté vous hydratent aussi bien que l’eau. Le café et le thé doivent être limités à 3 par jour pour prévenir le risque cardio-vasculaire et éviter l’anxiété, le stress et les troubles du sommeil.

IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ce sujet. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

Choix et installation d’un siège auto

Le Code de la route (art. R. 412-1 et suivants) oblige le conducteur et ses passagers à être attachés dans les voitures de moins de 3,5 tonnes, à l’avant comme à l’arrière du véhicule. Un système de retenue spécifique est impératif et obligatoire pour les enfants de 0 à 10 ans (ou jusqu’à ce qu’ils aient la taille de 1,35 m). Comment bien choisir son siège auto et comment bien l’installer ?

Les premiers éléments à prendre en compte lors de l’achat d’un siège auto sont la taille et le poids de l’enfant. En effet, cet équipement est classé selon plusieurs catégories, basées sur le poids des tout-petits. Cinq groupes sont prévus par la règlementation R44/04 :

• Groupe 0 de 0 à 10 kg : réservé aux nacelles et à quelques coques, dès la naissance jusqu’à 6 mois.

• Groupe 0+ de 0 à 13 kg : siège auto utilisé à partir de la naissance jusqu’à 12 mois.

• Groupe 1 de 9 à 18 kg : siège 2ème âge avec bouclier ou harnais, dos ou face route, de 12 mois à 4 ans.

• Groupe 2 de 15 à 25 kg : réservé aux rehausseurs avec dossier obligatoire ainsi qu’aux sièges dos route, de 12 mois à 12 ans.

• Groupe 3 de 22 à 36 kg : les rehausseurs avec ou sans dossier, de 3 à 12 ans.

Les enfants de moins de 10 ans doivent être installés dans un dispositif de sécurité à l’arrière du véhicule. Il est toutefois permis d’installer à l’avant un enfant de moins de 10 ans, dans l’un des cas suivants :

  • si l’enfant est installé dans un siège auto dos à la route, peu importe l’âge (à condition de pouvoir désactiver l’airbag et que le siège soit adapté à l’enfant en poids et en taille) ;
  • si le véhicule ne comporte pas de siège arrière ou de ceinture de sécurité à l’arrière ;
  • si les sièges arrière du véhicule sont momentanément inutilisables ou déjà occupés par des enfants de moins de 10 ans correctement attachés.

Le non-respect de ces obligations est passible d’une amende pouvant aller jusqu’à 750 €.

Pour diminuer la gravité en cas d’accident, il est recommandé de l’installer au milieu de la banquette arrière du véhicule. La place arrière droite derrière le passager est également plus sûre que celle de gauche.

Il est primordial de tenir compte du confort de l’enfant lorsqu’il est installé dans le siège auto puisqu’il va y passer de longs moments. Il est, par exemple, important qu’il puisse voir à l’extérieur de la voiture. Pour ce faire, il convient de bien sélectionner la fixation du siège dans la voiture qui se fait soit avec la ceinture de sécurité adulte soit avec le système Isofix.

• Le siège auto à fixation ceinture de sécurité :

Ce type de siège est adapté à tous les modèles de voiture. Ils peuvent être ainsi facilement transférés d’un véhicule à un autre et offrent plus de sécurité qu’un siège auto à système isofix. Son seul inconvénient réside dans son installation qui est beaucoup plus compliquée.

Pour l’installation :

  • lire attentivement la notice (les constructeurs mettent à disposition des instructions en version vidéo sur Internet) ;
  • passer la ceinture dans tous les passages prévus à cet effet ;
  • bien tendre la ceinture.

• Le siège auto à système d’installation isofix :

Ce genre de siège auto pour bébé s’installe facilement grâce à des fixations spécialement étudiées et dédiées. Toutefois, seuls les véhicules sortis d’usine depuis 2011 sont équipés de ce système de fixation. Ils sont également plus chers que les sièges autos à fixation ceinture de sécurité. Par ailleurs, ils restent très fiables, et offrent des performances de sécurité excellentes en maintenant notamment le bébé bien en place. De plus, ils sont plus faciles à installer que les modèles à fixation ceinture de sécurité.

Pour l’installation :

  • avec une sangle top tether : bien vérifier que le véhicule dispose d’un crochet pour l’installer ;
  • avec une jambe de force : éviter de le placer au-dessus du compartiment de stockage aux pieds des sièges arrière. Néanmoins, elle peut être installée derrière la trappe compartiment ou à l’intérieur ;
  • les voyants de bras isofix deviennent verts quand le siège auto est bien installé.

Vacances d’été : attention aux écrans…

Les vacances d’été sont l’occasion pour les enfants et les adolescents de prendre le temps de se ressourcer avant le début d’une nouvelle année scolaire. Mais la tentation est grande, à l’heure de l’hyperconnexion, de passer ce temps devant les écrans : ToutRoule vous guide pour accompagner au mieux vos enfants dans leur utilisation.

Les nouvelles générations sont hyperconnectées et grandissent désormais avec les écrans et leurs multiples applications : jeux-vidéo, réseaux sociaux, streaming, etc.

D’après l’enquête « Junior Connect » d’IPSOS 2022, les 13-19 ans possèdent en moyenne 3 écrans personnels, contre 1,6 en moyenne chez les 7-12 ans.

Ils privilégient l’utilisation de smartphone (90% des 12-17 ans déclarent en posséder un*) et l’utilisation d’internet pour regarder des vidéos, échanger avec les proches, écouter de la musique, ou jouer aux jeux-vidéo :

  • 6 heures par semaine pour les moins de 6 ans ;
  • 9 heures par semaine pour les 7-12 ans;
  • Près de 18 heures par semaine pour les 13 ans et plus.

Une utilisation excessive des écrans peut avoir un impact sur le développement du cerveau des enfants, leur apprentissage des compétences fondamentales et leur capacité d’attention, mais également sur leur santé physique et mentale. Au-delà de ces impacts, il existe également un risque de développement d’une addiction aux écrans, ou cyberdépendance.

Voici quelques pistes pour prévenir une utilisation excessive des écrans :

1. Pour les plus grands, il est intéressant de faire prendre conscience du temps passé sur l’écran : la plupart des smartphones recensent le temps d’utilisation dans leur paramètre.

    2. Respecter la règle dite « 3-6-9-12 » :

    • pas d’écran avant 3 ans ;
    • pas de console de jeu avant 6 ans ;
    • pas d’Internet avant 9 ans ;
    • pas d’Internet seul avant 12 ans.

    3. Instaurer des règles et des temps d’écran : convenez d’horaires à respecter et fixez des temps d’écran adaptés à l’âge des enfants.

    4. Instaurer et planifier des défis pour diminuer son temps d’écran : « qui passera le moins de temps sur son smartphone aujourd’hui ? », instaurer un jour sans écran, proposer à toute la famille de désactiver les notifications pendant les vacances, etc.

    5. Encourager les jeunes à faire des activités sans écran : 

    6. Laisser du matériel visible et accessible pour des activités ludiques, créatives, culturelles, ou sportives dans la maison. C’est toujours plus facile de faire d’autres activités quand ce qu’il nous faut est à portée de main. 

    7. Organiser des activités en lien avec leur centre d’intérêt. Vous pouvez par exemple établir avec eux une liste d’activités à faire pendant leur temps libre et faire un planning. Les activités programmées à l’avance sont souvent plus faciles à respecterVous pouvez également vous renseigner sur l’offre culturelle de votre ville et des alentours. Pour les plus grands (15-18 ans), le Pass Culture peut permettre de financer des sorties culturelles.

    * Source : Baromètre du numérique, 2019, ARCEP.

    Sommeil et fortes chaleurs : comment bien dormir…

    Lorsqu’il fait trop chaud notre sommeil est perturbé et nous sommes plus sujets à des réveils nocturnes. 7 astuces permettent de mieux dormir malgré la canicule et de profiter d’un sommeil réparateur.

    1. Dîner léger

    Plus le repas est copieux, plus la digestion est longue. Alors, surtout l’été, il est recommandé d’éviter les aliments trop lourds (fritures, pâtisseries, plats à base de fromage, etc.) au repas du soir et de privilégier les salades et les fruits d’été.

    2. Rester hydraté

    Assurez-vous d’être bien hydraté avant d’aller vous coucher et gardez une bouteille ou un verre d’eau près de votre lit afin de réduire au minimum le besoin de vous lever.

    N’oubliez pas que l’eau est votre meilleur allié. Il est déconseillé de boire des sodas sucrés ou des jus de fruits industriels.

    3. Faire descendre sa température corporelle avant de se coucher

    Prendre une douche ni trop froide, ni trop chaude pour éviter que notre corps fasse des efforts pour réguler sa température à 37 C. Une douche tiède avant d’aller se coucher favorise l’endormissement car elle permet de réduire la température de son corps.

    4. Ouvrir les fenêtres uniquement s’il fait plus frais dehors que dedans

    Garder fenêtres et volets clos la journée, surtout pour les pièces qui reçoivent du soleil. Les ouvrir la nuit, uniquement si l’air extérieur est plus frais que l’air intérieur.

    5. Humidifier la chambre

    2 astuces :

    • vaporiser de l’eau sur les rideaux. À chaque courant d’air, la chambre ne sera que plus fraîche.
    • suspendre une serviette mouillée et essorée à la fenêtre. En s’évaporant à l’air, l’eau atténuera la chaleur.

    6. Débrancher tous les appareils qui rejettent de la chaleur dans la chambre

    7. Porter des vêtements de nuit légers et amples

    Les vêtements en fibres naturelles comme le coton ou le lin, absorbent la sueur et permettent à la peau de respirer. Il faut éviter les tissus synthétiques qui absorbent moins bien la sueur. Supprimer les couettes et couvertures pendant cette période pour ne garder qu’un drap pour se couvrir.

    Les risques psychosociaux (RPS)

    Nous entendons souvent parler des risques psychosociaux ou de RPS. En quoi cela consiste-t-il ? Qui peut être touché ? Quelles en sont les conséquences ? ToutRoule fait le point.

    On qualifie de « risques psychosociaux » (ou RPS) les éléments qui portent atteinte à l’intégrité physique et à la santé mentale des salariés au sein de leur environnement professionnel.

    Indépendamment de leurs effets sur la santé des individus, les risques psychosociaux ont un impact sur le fonctionnement des entreprises (absentéisme, turnover, ambiance de travail, etc.) et peuvent concerner toutes les entreprises quel que soient leur taille et leur secteur d’activité.

    Les risques psychosociaux peuvent être induits par l’activité elle-même ou générés par l’organisation et les relations de travail. Les RPS se définissent généralement par :

    • le stress au travail (surcharge de travail, manque de moyens, manque d’autonomie, etc.) ;
    • les violences internes à l’entreprise (harcèlement, conflit, etc.) ;
    • les violences externes à l’entreprise (insultes, menaces, agressions, etc.).

    L’exposition à ces risques de travail peut avoir des conséquences sur la santé des salariés, notamment en termes de maladies cardio-vasculaires, d’affections psychiques, d’épuisement professionnel (burn-out), voire de suicide.

    Source : inrs

    Une obligation générale de sécurité incombe à l’employeur (article L. 4121-1 du Code du travail). Il lui revient d’évaluer les risques, y compris psychosociaux, et de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés.

    À côté de cette obligation de prévention, d’autres pratiques se développent dans les entreprises qui cherchent à développer le bien-être ou la qualité de vie au travail (QVT).

    IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne sur ces sujets. Retrouvez toutes les actions à votre disposition en vous connectant sur votre compte.

    Panne de voiture : comment réagir ?

    Pneu crevé, panne d’essence, batterie déchargée, fumée suspecte, etc. Savoir réagir en cas de panne est primordial pour se mettre en sécurité, assurer celle de vos passagers et des autres usagers. Voici quelques conseils pour éviter la panique et avoir les bons réflexes en cas de panne de voiture.

    Les indispensables en voiture

    Pour rouler l’esprit tranquille, il y a des outils indispensables à avoir toujours dans sa voiture :

    • un triangle de signalisation et un gilet réfléchissant ;
    • un cric et une manivelle en cas de crevaison ;
    • une roue de secours en bon état (ou à défaut galette ou bombe anti-crevaison + compresseur) ;
    • des pinces de batterie ;
    • une lampe torche si vous tombez en panne la nuit ;
    • des ampoules de rechange.

    En cas de panne, voici quelques règles à respecter, pour votre propre sécurité et celle des autres automobilistes :

    • dès que votre voiture présente des anomalies ou problèmes d’ordre mécaniques, garez-vous sur le côté de la route. Au besoin, demandez l’aide d’autres personnes afin de manœuvrer correctement ou afin de pousser votre véhicule à un endroit sûr. Si vous êtes sur autoroute, dirigez-vous au plus vite sur la bande d’urgence ;
    • signalez votre présence en actionnant vos feux de détresse (ou warning) ;
    • mettez votre gilet de sécurité réfléchissant ;
    • placez un triangle de signalisation à +/- 30 mètres derrière votre véhicule si la panne de voiture survient sur route normale ;
    • appelez les urgences (si vous avez souscrit à une assistance, prenez contact avec eux). Signalez-leur aussi précisément que possible l’endroit où vous vous trouvez (pays, commune, rue, numéro, autoroute, borne kilométrique ou tout autre élément permettant de vous retrouver facilement), la nature de votre problème (type de panne ou d’accident, nombre de véhicule impliqués, nombres de passagers) et s’il y a des blessés. Suivez leurs instructions et attendez l’arrivée des secours.

    Que faire en cas de panne de voiture sur autoroute ?

    • quittez votre véhicule et réfugiez-vous derrière le rail de sécurité (tous les occupants du véhicule doivent quitter le véhicule, par mesure de sécurité) ;
    • n’essayez pas d’arrêter d’autres véhicules ;
    • ne tentez pas de réparation (danger d’être heurté par d’autres véhicules roulant à vive allure) ;
    • ne tentez jamais de traverser l’autoroute ;
    • composez le 112 pour les urgences. Si vous n’avez pas de téléphone portable, rendez-vous à la borne d’appel d’urgence la plus proche (en marchant toujours derrière le rail de sécurité).

    Comment bien mettre sa ceinture de sécurité ?

    Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire et indispensable car il protège le conducteur et les passagers en cas de collision. Alors comment bien la positionner ?

    LES BONNES PRATIQUES EN IMAGE :

    Le saviez-vous ?

    • dès 20 km/h, un choc subi sans ceinture peut être mortel ;
    • le poids d’un corps humain peut être multiplié par 10 en cas de projection dans un accident.

    + Information réglementation :

    En cas de contrôle de police, le défaut de port de la ceinture de sécurité expose le conducteur à payer une amende de 135 € et à un retrait de 3 points sur son permis de conduire. Il doit également s’assurer que les passagers mineurs qu’il transporte portent leur ceinture sous peine de sanction.

    + Bon à savoir :

    Si vous êtes arrêté en train de conduire en doudoune, vous risquez une amende de 135 euros et le retrait de points de votre permis de conduire

    Protéger sa vue du soleil

    Tout comme la peau, les yeux ont besoin d’être protégés lorsque les rayons UV sont importants. Comment protéger ses yeux pour profiter des beaux jours en toute sécurité ?

    Le danger du soleil pour notre corps est provoqué par les rayonnements ultraviolets (UV) qui émanent de celui-ci.

    Ces deux types d’UV sont invisibles pour l’homme et parviennent aux yeux de trois manières :

    • de façon directe : l’intensité de la lumière varie selon la saison, le lieu géographique et l’altitude ;
    • par diffusion : l’intensité de la lumière dépend notamment de la présence de nuages ou non ;
    • par réflexion : l’intensité des rayons UV est augmentée par la réverbération au sol (ex. l’herbe, l’eau, la neige, le sable, etc.).

    Le meilleur équipement de protection contre les rayons UV reste les lunettes de soleil.

    Il est important de bien les choisir, avec des verres filtrant les UVA et les UVB.

    De plus, les lunettes de soleil doivent porter le sigle CE et la catégorie de protection (de 1 à 4). Plus la catégorie est élevée, plus les verres filtreront la luminosité solaire.

    Bon à savoir :

    La catégorie 3 est conseillée pour la plupart des situations d’ensoleillement.

    Les yeux des enfants sont plus sensibles encore aux rayons du soleil. Protégez-les avec un chapeau ou une casquette, ou avec des lunettes adaptées à la forme de leur visage, qui resteront bien en place.

    Lors d’activités physiques et sportives, n’oubliez pas également de protéger vos yeux avec :

    • une visière
    • des lunettes de natation, ou des lunettes de protection pour le vélo ou la moto.

    Elles agissent contre le soleil, bien sûr, mais aussi contre le vent, les poussières et les brindilles.